Groupe culte des années 80 qui offre un amalgame de rock psychédélique et expérimental, d'industrielle, à tendance post-punk pour une musique planante, mélancolique et envoûtante.
The Legendary Pink Dots en concert
The Legendary Pink Dots : l'historique des concerts
Me.
28
Fév.
2024
Ma.
28
Fév.
2023
Lu.
27
Fév.
2023
Lu.
24
Fév.
2020
Ma.
10
Mai
2016
Lu.
09
Mai
2016
Ve.
14
Nov.
2014
Di.
13
Avril
2014
Le Klub - Paris (75)
The Legendary Pink Dots : les dernières chroniques concerts 4 avis
The Legendary Pink Dots + Waveland
The Legendary Pink Dots Retour dans les années 80 avec The Legendary Pink Dots, groupe de post punk anglo néerlandais. Inclassable, leur musique rock psychédélique détonne toujours autant dans le paysage musical, d'hier et d'aujourd'hui. Malgré tout, le groupe a su trouver son public, des fans de la première heure mais également des curieux, à en croire le concert de ce soir. Les années ont passé et le combo continue de tourner, certes dans des petites salles, mais il peut se vanter de drainer encore des fidèles. Edward Ka-Spel, le chanteur et parolier du groupe arrive sur scène, pieds nus, tel un messie, ravi de venir nous prêcher ses compositions expérimentales et planantes. Tout le long de la... Lire la suite
The Legendary Pink Dots
Au hasard d'une rencontre et au détour d'une conversation, je me surprends à envisager bien malgré moi, mais néanmoins avec enthousiasme, de me rendre à la grand-messe prévue ce vendredi 22 avril 2011 à L'Embobineuse : The Legendary Pink Dots + [Bleu] + Philippe Petit DJ. Des années que je ne me suis pas replongée dans cet univers post-punk qui a marqué toute mon adolescence et j'avoue (quand même!) une toute petite appréhension... Sur place à heure pile, je suis totalement rassurée : non, les chauves-souris ne sont pas de sortie ce soir, çà, c'est de l'époque bel et bien révolue, alléluia ! et la salle de concert à elle seule vaut le déplacement, pour qui ne s'y est jamais aventuré ! Il ne me reste donc plus qu'à être toute ouïe, yeux grands ouverts et à me laisser guider... Vers 22h00, les deux alchimistes franco-suisses de [Bleu] entrent en scène et entament une série d'expériences sonores clavier/batterie sur un rythme lancinant et volontairement répétitif, des volutes de fumée bleue envahissent la salle et se mêlent à l'air déjà surchargé de l'Embobineuse... : de quoi esquisser une ambiance, pas de quoi transporter la foule... Quelques passages intéressants tout de même, une application sans faille des musiciens,... Lire la suite
The Legendary Pink Dots + Bleu
On a tous entendu parler d'un lieu mythique sans jamais encore avoir eu l'occasion de s'y rendre. Une amie de travail me propose d'aller écouter son neveu Emmanuel à l'Embonineuse, l'occasion idéale pour découvrir la salle la plus underground de Marseille, je n'ai pas était déçue. La première partie a été assurée par le duo franco-suisse Bleu formé par Emmanuel (Bordeaux) et Gilles (Genève). Leurs compositions sont étonnantes et très riches en sonorités. Leur musique combine brillamment les sons des instruments classiques tels la batterie et le synthé avec des sonorités électroniques et des voix faisant l'effet de churs d'église. N'étant pas spécialiste en musicologie, j'ai ressenti plusieurs ambiances selon les morceaux, plutôt mystérieuse et hypnotique quand l'électronique se combine habilement avec la batterie, plus douce et rêveuse avec le... Lire la suite
The Legendary Pink Dots + Kulfi
Critique écrite le 13 avril 2009, par Jacques 2 Chabannes
Le Poste à Galène - Marseille 12 avril 2009
" Welcome To The Machines... " (Impressions ou (réd)action ?) Dès l'intro, Kulfi me harcèle l'esthétique : " ça " capuche, " ça " porte larges lunettes d'aviateur, " ça " s'éclaire de poche sous les yeux (ou autour ?), " ça " vintage d'instruments, " ça " installe l'atmosphère du PAG d'instrus Arabisants du dedans ! Ha, tiens, " ça " violoncelle aussi d'envie(s) encore inassouvies. En gras, dans le texte : " ça " titille bien le nerf optique d'entrée, mais " ça " ne met pas longtemps à retomber un tantinet du soufflé (de désirs et promesses non tenues...) comme un pet vaginal malencontreux, sous tendresse susurrée... En résumé : " ça " durcit, " ça " monte, " ça " se tend, soit ! - faut que je fasse gaffe aux termes que j'emploie, moi, " ça " effleure les mauvaises blagues en réunion, les suintantes contrées du " X ", les salaces réparties sous boissons à degrés... - mais jamais ne se rompt ou n'altère nos chimies internes de spectateurs neutres. Musicalement, " ça " tourne, en plus, c'est un fait acquis, mais " ça " donne l'impression de chercher vainement un sens commun, façon " Graal post-psyché ", sans arriver à l'isoler encore... Pour l'instant ! Sur le dernier morceau : Ragtime - en tous points semblable aux... Lire la suite