Accueil Maison de la Culture - Clermont Fd
Jeudi 28 mars 2024 : 6615 concerts, 27064 chroniques de concert, 5409 critiques d'album.

Maison de la Culture - Clermont Fd

71 Boulevard François Mitterrand
63000 Clermont Ferrand

Plus d'info :

Maison de la Culture - Clermont Fd : les prochains concerts

Je.

28

Mars

2024

Ycare en concert
Ycare
Ycare
20H30 35.00 €

Je.

25

Avril

2024

Enrico Macias en concert
Enrico Macias
Enrico Macias
20H30 De 29.00 à 59.00 €

Di.

22

Sept.

2024

Echos Du Petit Sorcier
15H30 De 15.00 à 45.00 €

Di.

22

Sept.

2024

Echos De La Vallee Du Vent
20H30 De 15.00 à 45.00 €

Sa.

05

Oct.

2024

Mania, The Abba Tribute
20H30 De 45.00 à 75.00 €

Sa.

16

Nov.

2024

Belinda Davids
20H30 De 25.00 à 70.00 €

Je.

28

Nov.

2024

Barbara Pravi en concert
Barbara Pravi
Barbara Pravi
20H30 De 30.00 à 35.00 €

Maison de la Culture : les dernières chroniques concerts 4 avis

Pablo Mira dit des choses contre de l'argent

Critique écrite le 25 mars 2022, par Pierre Andrieu

Maison de la Culture, Clermont-Ferrand 24 février 2022

Pablo Mira dit des choses contre de l'argent en concert

A la fin de son hilarant spectacle "Pablo Mira dit des choses contre de l'argent", le susnommé humoriste et chroniqueur télé et radio a demandé des retours sur internet au public de la Maison de la Culture de Clermont-Ferrand, pour lui permettre de se faire (encore un peu plus) connaître. Voici ce qu'on en a pensé en deux deux... Le (on man) show commence dès l'arrivée au guichet puisque le co-créateur du Gorafi parle dans un talkie-walkie dont le retour son est diffusé dans le hall, avant d'inviter un peu plus tard tout le monde à pénétrer dans la salle en hurlant lui-même dans les escaliers "c'est bon, vous pouvez faire rentrer les pauvres !" Voilà, le ton est donné, Pablo Mira va pouvoir jouer à la perfection son rôle d'avatar d'Eric Zemmour pendant la presque totalité de son one man show : au risque de choquer ceux qui ne sont pas prévenus qu'il faut tout prendre au millième degré, notre homme (ou plutôt son personnage... ) tient des propos méprisants pour les pauvres (c'est le point de départ de la soirée), puis se révèle être raciste et sexiste, voire même bobo parisien égocentrique (là, ça va trop loin !). Jouant (il est parfois en surjeu, c'est voulu et très drôle... ) comme un chef son rôle de GROS connard... Lire la suite

Hubert-Félix Thiéfaine (Tournée Unplugged... )

Critique écrite le 22 janvier 2022, par Pierre Andrieu

Maison de la Culture, Clermont-Ferrand 13 janvier 2022

Hubert-Félix Thiéfaine (Tournée Unplugged... ) en concert

Hubert-Félix Thiéfaine, on l'a beaucoup écouté et vu sur scène en fumant de la weed à la fin des années 80 et au début des années 90. Puis on l'a un peu perdu de vue, tout en gardant du respect pour l'auteur compositeur interprète et en continuant à gratouiller de temps en temps "La fille du coupeur de joints" sur notre guitare en fin de soirée entre potes. Et puis début 2022, en pleine pénurie de live, on se dit "et si on essayait Thiéfaine en version Unplugged sur l'une des premières dates de sa nouvelle tournée ?" Cette série de concerts qui s'étire sur toute l'année 2022 risque d'être intéressante car HFT (pour les intimes) a prévu de faire la part belle à ses titres folk, à ses morceaux rarement joués en live et à ses tubes en version dépouillée, tout en agrémentant sa prestation de quelques nouveautés extraites de son dernier disque, "Géographie du vide". Si ses concerts sont souvent too much et franchement variet' en mode full band quand il joue dans les grandes salles de France et de Navarre, l'auteur d'"Alligators 427", de passage mi janvier dans le cadre intimiste de la Maison de la Culture de Clermont-Ferrand (une sorte de Grand Rex de 1400 places assises), a quand même écrit un paquet de chansons marquantes au cours... Lire la suite

Eclose (Hommage à Pink Floyd - The Wall)

Critique écrite le 29 février 2020, par Jérôme Justine

Maison de La Culture, Clermont-Ferrand 28 février 2020

Eclose (Hommage à Pink Floyd - The Wall) en concert

C'est après une bonne journée de campagne électorale et de travail à la campagne à tailler des plantes qui n'ont toujours pas compris que l'hiver est là, que je me dirige, accompagné de mon fiston musicien, (toujours dans les bons coups celui-ci) vers la Maison des Congrès et de la Culture, salle Jean Cocteau plus précisément, de cette belle cité arverne, nommée dans les guides touristiques les plus chevronnés du doux nom de Clermont-Ferrand. Qu'est-ce que je faire faire dans cette salle clermontoise plus communément utilisée pour de la danse, du théâtre, du jazz festivalier ou du comique troupier, que pour du rock ? Et bien je vais poser mon noble postérieur sur ce velours rouge numéroté pour écouter une version un peu particulière de The Wall, opéra bouffe en deux actes des célèbres Pink Floyd. "Mais qu'est ce qu'elle a de particulier cette version?", me demanderez-vous avec une intelligence qui me surprends un petit peu. Et bien, vous répondrai-je, c'est une version couillue ! Tout d'abord j'assume cette image phallocrate et un brin provocatrice, mais je vais même tenter de vous la faire assimiler. Le projet est né il y a fort longtemps déjà, autour d'un bol de café et d'une chocolatine. Deux musiciens locaux, Cédric Oléon,... Lire la suite

Pascal Comelade et le Bel Canto Orquestra

Critique écrite le 10 octobre 2006, par Pierre Andrieu

Maison de la Culture, salle Boris Vian, Clermont-Ferrand 6 octobre 2006

Rocanrol bric-à-brac Programmés par La Comédie, scène nationale de Clermont-Ferrand, Pascal Comelade et le Bel Canto Orcquestra ont déchaîné les passions dans la cadre intimiste de la salle Boris Vian de la Maison de la Culture. Le concert - complet, comme celui du 5 octobre -, a permis d'apprécier à sa juste valeur l'univers singulier d'un (dé)compositeur aussi doué pour faire vivre une mélodie que pour parler, avec l'accent catalan, l'argot du bruit. Le taciturne musicien est en effet un des plus brillants adeptes du grand écart permanent entre comptines touchantes ou hilarantes et voyages sonores aussi rock qu'expérimentaux ou mélancoliques. Avec son Music hall psychotico intimiste Pascal Comelade a réussi à emmener dans son monde à lui un public aussi bien composé de fans transis que de novices un peu sceptiques au début, puis rapidement conquis. Un exploit donc... Comme dans un rêve éveillé d'enfant... Très rapidement au cours du concert enthousiasmant de M. Comelade et de ses quatre musiciens, on se retrouve comme dans un rêve éveillé d'enfant. Les mélodies sont saisissantes et l'instrumentation, quant à elle, est véritablement ébouriffante. Les instruments sont en effet quasi systématiquement... Lire la suite

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