Madness est l'un des groupes phares de la scène ska 2-Tone des années 80. Leur fameux titre "One Step Beyond" restera à jamais gravé dans les mémoires et dans l'histoire du ska. Nouvel album Oui Oui Si Si Ja Ja Da Da en 2012. Concerts en 2013 et 2014 !
Madness en concert
Madness : l'historique des concerts
Sa.
20
Août
2022

Stade Bayard - Charleville Mezieres (08)
Ve.
19
Août
2022

Stade Bayard - Charleville Mezieres (08)
Je.
18
Août
2022

Stade Bayard - Charleville Mezieres (08)
Me.
17
Août
2022

Stade Bayard - Charleville Mezieres (08)
Je.
07
Juillet
2022

Chateau de Beauregard - Herouville St Clair (14)
Sa.
21
Juillet
2018
Je.
19
Juillet
2018

Playa Costa Azahar - Benicassim (Sp)
Sa.
11
Nov.
2017
Madness : les dernières chroniques concerts 3 avis
Madness

C'est la première fois que j'allais à la salle Pleyel pour un concert de rock, ou plutôt de ska... C'est une très belle salle, bien refaite, avec une très bonne acoustique mais assez feutrée et des places au ¾ assises. Si cela ne poserait aucun problème pour des artistes comme Alain Souchon, Agnès Obel ou King Crimson, il parait quelque peu incongru de programmer des têtes d'affiches comme Alice Cooper, ou Madness que nous allons voir ce samedi 11 novembre 2017. Madness, c'est ce groupe de Ska Pop survolté, dont la discographie est une succession de tubes et dont la popularité en Angleterre est difficilement imaginable de ce côté du Channel, où l'on a vite fait de résumer leurs 40 années de carrière au tube "One step beyond" et au générique de l'émission d'ameublement de l'épouvantable Valérie Damido. Pour les initiés français, dont la moyenne d'âge tourne désormais allègrement autour de la cinquantaine, Madness rime avec "harrigton", "cravate à damier", "creps", lunette noires et chapeau de feutre mais surtout avec des concerts explosifs, drôles, ou toute la salle chante et danse emporté par le rythme, l'euphorie, les refrains fédérateurs et la générosité propre à ce gang de Camden town. Malheureusement, en ce 99ème... Lire la suite
Madness + Les Wampas
Angleterre, début des années 80, l'Angleterre est encore une ile sans tunnel. Une ile plongée dans la pire crise économique de son histoire. La dés-industrialisation fait rage .Les usines et les mines ferment. Lés grèves sans fin se multiplient. Le gouvernement Thatcher mène une politique de rigueur brutale. Les banlieues deviennent des ghettos ethniques comme Brixton. Le nationalisme prend de l'essor à travers des mouvements comme les Skinheads qui se politisent et se radicalisent La violence devient omniprésente dans la société. La crise Irlandaise est une guerre civile que l'on ne nomme pas. Le sport est marqué par les hordes de Hooligans qui terrorisent l'Europe des qu'ils quittent leur ile. Du point de vue musical, la fin des années 70 avaient vu l'émergence des Punk et du No Future avant de laisser la place à la new wave et à des groupes de joyeux lurons comme The Cure, Bauhaus ou Joy Division. Vous l'aurez compris l'heure n'était pas à la fantaisie et à l'optimisme !! C'est au milieu de tout cela que Madness est apparu. Formé par une bande de jeunes lads de Camden Town fasciné par le Rock steady , les rythmes jamaïcains, et la pop des Kinks et des Beatles, Madness fut un anachronisme total dans le paysage culturel anglais de... Lire la suite
(mon) Rock en Seine 2009, 1/3 : Keane, Gush, Yeah Yeah Yeahs, Passion Pit, Madness, Vampire Weekend, Bloc Party, Oasis (annulation de), Vitalic
Retour à Saint-Cloud, pour la 5ème fois déjà alors qu'on aurait pas forcément parié sur l'espérance de vie d'un tel événement, pour une dernière communion en plein air, sur la base d'une affiche peu révolutionnaire et néanmoins alléchante à Rock en Seine. Seul festival au monde qui programme pour la troisième année d'affilée une Amy, celle-ci étant bien plus lisse que la tigresse fascinante mais ingérable qui les a encore (ha, ha) plantés l'année dernière... On pénètre sur le site sous un beau soleil qui ne va pas nous quitter, au son des horribles miaulements coldplayesques et des claviers mainstream de Keane dont l'oeuvre se résume en un mot : beurk. La musique funk light, puis pop rock de Gush, s'avèrera pour sa part ni déplaisante, ni marquante, vite oubliée. On découvre pendant ce temps avec plaisir que le festival est passé, comme presque tous les autres, aux gobelets consignés, puisqu'il se veut toujours plus éco-responsable (notons la tentative louable et assez osée pour une telle affluence, des toilettes sèches à grande échelle). Encore un petit effort à faire cependant : si SFR et autres pouvaient arrêter de distribuer des saloperies en plastique ou en metal jetables, et si on pouvait virer le ridicule 4x4 mastodonte qui... Lire la suite
Bombay Bicycle Club - Starlight Girls - Terakaft - Madness (Sziget Festival 2014)

Sixième jour du Sziget Festival... Le samedi 16 août 2014, Main Stage. L'après-midi a débuté avec le groupe londonien BOMBAY BICYCLE CLUB, composé de JACK STEADMAN, JEAMIE MACCOLL, SUREN DE SARAM et ED NASH. Nous remarquons l'évolution de ce groupe avec un répertoire reprenant les influences indie rock de leurs premiers albums et les expérimentations électro des suivants. Après six jours de concerts et après avoir écouté l'énième groupe indie, reprenant des épices musicales identiques, la tâche s'est avérée périlleuse pour BOMBAY BICYCLE CLUB, le nom d'un restaurant sur King's Road à Londres. Les festivaliers étaient visiblement en attente des concerts suivants MADNESS et THE PRODIGY. Auteurs-compositeurs prolifiques, les musiciens ont pu puiser dans leur catalogue de chansons afin de s'adapter à un public intergénérationnel. Ce n'était pas le show déjanté que nous attendions, simplement une préparation de la longue journée du samedi se terminant dans la matinée du dimanche. La basse et la batterie me semblaient lourdes dans les morceaux rapides (up tempo). La choriste, devenue cinquième membre, à temps complet, du groupe sur scène a sauvé maintes fois la situation en secondant des voix masculines manquant de relief.... Lire la suite