Hard rock stoner régressif et pétaradant, voix à la Black Sabbath/Led Zeppelin, riffs jouissifs et batteries contondantes, réservé aux nostalgiques de Wayne's World. Retour fracassant pour Wolfmother : nouveau line up, nouveau disque (Cosmic Egg) et nouvelle tournée mondiale !
Wolfmother en concert
Wolfmother : l'historique des concerts
Je.
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Juillet
2024
Me.
03
Juillet
2024
Sa.
19
Août
2023
Stade Bayard - Charleville Mezieres (08)
Je.
17
Août
2023
Site de Kerampuilh - Carhaix-Plouguer (29)
Je.
17
Août
2023
Site de Kerampuilh - Carhaix-Plouguer (29)
Me.
03
Juillet
2019
Ma.
02
Juillet
2019
Lu.
21
Nov.
2016
Wolfmother : les dernières chroniques concerts 6 avis
(mon) Rock en Seine 2016, 1/2 : Wolfmother, Casseurs Flowters, Grand Blanc, La Femme, L7, Sigur Ròs, Massive Attack
Quand l'été est presque enfui, comme chacun sait, il n'y a qu'une seule solution pour le clôturer dignement : Back to Rock en Seine ! Bon, on pourrait nous accuser légitimement d'être un peu un touriste récidiviste par ici, à force de n'y passer qu'entre 1,5 et 2 jours depuis maintenant déjà quelques années. Il est vrai que la capitale recèle d'autres charmes et que la programmation peut parfois y avoir de sérieux trous d'air... Il n'empêche que l'auteur de ces lignes : 1) a vu les White Stripes ici en 2004 (voir chronique par ailleurs) ; 2) a créé à peu près la même année la page "Rock en Seine" de Wikipedia (si, si, ça ne s'invente pas, les nerds pourront même vérifier) ; 3) a célébré en cette année 2016, sa 10ième venue annuelle ici (tout en ratant royalement la veille le concert absolument splendide de The Last Shadow Puppets, pour la 2ième fois cet été après celui des Eurockéennes...) Votre serviteur évolue donc tel un fish dans ses chips entre les beaux arbres du Parc de Saint-Cloud, parfaitement à l'aise au milieu des désormais trois générations de rockeurs (à la recherche de leur dose de larsen), des toujours nombreux indigènes de Grande-Bretagne (avec leurs coups de soleil douloureux sur les épaules...), et de ceux de... Lire la suite
Wolfmother + The Black Angels
C'est toujours quand on pense en avoir fini avec les concerts-où-l'on-monte-exprès-à-Paris qu'une nouvelle affiche est annoncée, quelques mois à peine après la précédente et dans une salle encore inconnue. Revoir Wolfmother justifie-t-il une nouvelle mini-virée ? Tout est dans le "re", le problème est qu'on est resté sur une assez ébouriffante mais horriblement courte première prestation en trio à Rock en Seine 2006, qui nous avait soufflé. A l'époque, ce qu'on croyait être un groupe n'avait à défendre qu'un assez formidable premier disque, mais depuis il en a sorti un très plaisant deuxième. Alors peu importe que le line-up ait presque entièrement changé puisque l'auteur/compositeur/entertainer principal, et au fond le seul qu'on voyait vraiment sur scène, le formidable Andrew Stockdale est toujours là, et qu'il joue dans une salle petite et bien réputée. Banco ! Séquence Routard/Concertandco : L'extérieur du Bataclan, fringuant jaune et rouge dans l'après-midi, est bien tristounet et sombre la nuit, tout comme l'affichage du concert du soir qui fait bien pâle figure comparé à celui, en lettres rubis, de l'Olympia. De plus l'entrée est compliquée puisqu'elle cumule tous les handicaps : une seule porte, une seule file, les... Lire la suite
Wolfmother + The Black Angels
Critique écrite le 16 janvier 2010, par Benjamin Fournet
O2 Academy, Newcastle, Angleterre 15 Janvier 2010
Nous avions déjà vu les Wolmother ici et les Black Angels là mais les deux à la fois jamais ! Nous nous précipitons donc à l'O2 Academy malgré le "putain de froid" dixit Andrew Stockdale. Envoûtant Le groupe texan, The Black Angels, produit un set de 50 minutes tendu à souhait. Les morceaux sont longs, extrêmement bien joués et mixés très très fort pour notre (mon ?) plus grand bonheur. Le set est principalement composé de morceaux du dernier album Directions to See a Ghost avec en point d'orgues le tribal Science Killer. Certains morceaux que je ne connaissais pas (Face B ?, mon inculture probable ?) semblent plus chaloupés et "groovys" que ce que le quintette a l'habitude de produire. Toutefois, les magiques Young Men Dead ou The Sniper at the Gate of Heaven restent des références envoûtantes et réjouissantes. Dommage que le public n'ait absolument pas réagi aux petites merveilles concoctées par les américains. Peut être avaient-ils tous déjà la tête aux antipodes? Virevoltant Après l'immense déception suite à la sortie de Cosmic Egg, nouvel album écrit de A à Z par le toujours aussi chevelu Stockdale, nous... Lire la suite
Wolfmother + The Hall Effect
Mercredi soir, 19h30 devant l'entrée du Trabendo, il fait déjà nuit et un peu froid. Je compte bien me réchauffer au son du groupe Wolfmother. 1ère date de la tournée européenne pour Andrew Stockdale (voix/guitare) et ses nouveaux musiciens. Concert complet comme toutes les dates de la tournée européenne, quelques jours avant la sortie du 2ème album, très attendu, c'est peu dire, le 1er étant sorti en 2006. Ce soir, ne les ayant jamais vu, j'attends de voir ce groupe qui a une belle réputation sur scène et le moins que je puisse dire, c'est que je ne fus pas déçu, bien au contraire. Arrivé dans la salle pour le 1er morceau de la 1ère partie, The Hall Effect - groupe indie colombien qui chante en anglais, la salle finit par être bondée avant l'arrivée de Wolfmother sur scène à 20h35. Il y a une grosse ambiance, c'est peu dire, tout ceci va durer un petit peu plus d'une heure pour... Lire la suite
Wolfmother : les chroniques d'albums
Wolfmother : Cosmic Egg
Chronique écrite le 02/11/2009, par Philippe
Retour du très chevelu australopithèque Andrew Stockdale avec un combo entièrement renouvelé, n'ayant gardé que le nom et une partie du son de Wolfmother. L'ancien trio, qui avait réussi la parfaite synthèse entre Led Zeppelin, Black Sabbath et White Stripes sur son remarquable premier LP éponyme, a en effet volé en morceaux, et la franchise y a perdu perdu quelques plumes en route. Toujours sous influence vocale marquée selon les cas par Ozzy Osbourne (10 000 Feet) ou par Robert Plant (voir sa façon de hululer le refrain de l'introductive et puissante California Queen !), le grand frisé sans plus de moustaches mais désormais équipé de rouflaquettes respectables, livre en effet un nouvel album où les compos de heavy rock tendance psyché prennent le dessus (Sundial ou Violence of the Sun), au détriment des racines blues. Car il a par contre perdu en route l'influence (guitare et voix) pourtant bénéfique de Jack White au profit (si l'on peut dire) d'une certain retour au hair-metal, ses nouvelles chansons pouvant à l'occasion s'avérer presque pénibles voire embarrassantes : White Feather et surtout Far away - on dirait du Guns'n'Roses, cloche et solo de guitare... Lire la suite
Wolfmother : Wolfmother.
Chronique écrite le 08/06/2006, par Philippe
A l'écoute de Colossal (ach, Kholossal ?) au début de cet album, on prendrait facilement peur... Encore un de ces groupes hommages à Led Zeppelin (plus exactement, à Deep Purple), le monde a-t-il besoin de 3 chevelus en jean serré de plus, et avec un nom prétentieux et une pochette tout droit sortie des années 80 ? En plus les australiens sont connus pour ce genre de revival premier degré (garage bands sympas mais bas du front comme les Datsuns, tribute bands à Abba, etc...). Et puis voilà qu'un pogo sympa part et le doute s'installe, vite chassé par Woman, qui ne vole hélas pas plus haut. A White Unicorn, damned, ça commence même à ressembler aux rigolos mais assez consternants The Darkness, et puis voilà un étrange pont à l'orgue très Doors, jusqu'à un final au riff très puissant où l'on sent malgré soi un frémissement de plaisir... on aurait pas dit Black Sabbath là tout à coup ? Le frisson se poursuit sur Pyramid qui commence furieusement à rappeler les Raconteurs : riff de plomb sur un air glam-rock, on réalise qu'en plus, ils ne sont que 3 pour faire tout ce boucan ? Finalement c'est pas mal du tout, on prête une oreille plus attentive... Lire la suite
Top Pop-Rock
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