Accueil Chronique de concert Download Festival France 2016 (Deftones, Anthrax, Iron Maiden, Ghost, Babymetal, Megadeth, Rammstein)
Jeudi 28 mars 2024 : 6616 concerts, 27064 chroniques de concert, 5409 critiques d'album.

Chronique de Concert

Download Festival France 2016 (Deftones, Anthrax, Iron Maiden, Ghost, Babymetal, Megadeth, Rammstein)

Download Festival France 2016 (Deftones, Anthrax, Iron Maiden, Ghost, Babymetal, Megadeth, Rammstein) en concert

Hippodrome Longchamp, Paris 10-11-12 juin 2016

Critique écrite le par




D'un commun accord avec Philippe, le plus LesterBangsien des chroniqueurs musicaux français (il fallait que ce soit dit) nous avions décidé de regrouper nos impressions du Download Festival en un seul et même article. Malheureusement, nos chroniques respectives sont trop volumineuses pour etre fusionnées ! Pour ma part, donc, je développerais sur mon séjour au camping, sur les groupes que j'ai vu, et bien sur, sur le concert que la majorité des festivaliers attendait, celui des teutons brûlants de Rammstein.


Nous sommes arrivés sur le site, ma belle et moi, au milieu de l'après-midi du vendredi. Après des hesitations sur le choix de la bonne navette à prendre (merci à l'agent de la RATP sadique qui à pris un malin plaisir à nous balader dans tout les sens) et une longue marche clopin-clopante jusqu'au campement, nous avons finit par tomber sur des âmes charitables qui, voyant ma détresse d'éclopé, ont transporté notre matériel jusqu'à l'entrée. Qu'ils soient bénis pour leur gentillesse, ces bons samaritains Lillois !

Profitons de cette entrée pour faire un petit point sur l'organisation de ce festival tout fraichement établit dans notre contrée : évidemment, des hauts et des bas, des plus et des moins, des défauts et des qualités, que l'on peut lier à l'approximation de toute les première éditions de tout évènements, quel qu'ils soient. Ici, en l'occurrence et en dépit des informations dévoilées sur le site web du Download, personne n'était au courant du soi-disant service de placement pour les personnes handicapées. Cependant, point d'aigreur, une amicale vigile et deux comparses attendris nous aidèrent à trouver un endroit confortable ou jeter notre Quechua.


C'est ainsi que nous nous retrouvâmes planté à proximité d'une bande de cousins Germains qui se révélèrent, au fil de ces trois journées, affables et amicaux. Pendant que sur la scène principale, les Deftones se rappelaient à notre bon souvenir d'ados des années quatre-vingts dix, quelques baragouinements en anglais et quelques cigarettes cannabisées partagées scellèrent la confiance entre Goths et Gaulois.

Quelques observations concernant l'ambiance générale de ce camping, avant de poursuivre : Les campeurs qui liront ces lignes seront d'accord avec moi pour dire que l'atmosphère était plus que sage. Je ne dirais pas morose, car ce n'est pas le terme exact, plutot une placidité bon enfant. Bien sur, quelques "Apéro !" braillés de ci de là, quelques zombies hagards, quelques excentriques joviaux, d' amusant concours de glissades en caddies, mais rien en comparaison de ce que l'on peut vivre dans la plupart des autres festos, c'est à dire le chaos ethylico-stupéfié général de la plupart des festos. Surprenant. Les plus audacieux d'entre nous trouveront ceci bien tristounet, mais pour le boiteux que je suis, c'était simplement super de ne pas subir ces raz de marée imprévisibles de cadavres en furie qui tombent sur votre tente quand vous essayez de grappiller péniblement une paire d'heures de sommeil. Je termine cette longue parenthèse en en soulignant la propreté immaculée des toilettes de ce camping ! A croire qu'une bande de petits lutins passaient récurer les gogues susnommés des qu'un crotteur ou une pisseuse avaient terminé son affaire ! Du jamais vu.


Il faut également signaler que nous étions excellemment bien placé dans ce lieu. Grâce aux agents de la sécurité mentionnés plus hauts, nous n'étions littéralement qu'a deux minutes à pieds des scènes, et que notre position géographique nous permettais d'entendre avec limpidité mêmes les concerts se tenant sur la scène principale. Un avantage plus qu'appréciable pour un dégénéré des guibolles, et si nous ne nous sommes pas rendus toujours sur les lieux des shows, on les a quasiment tous entendu. Pour reprendre certaines images qui circulent sur les réseaux sociaux, on appréciera le contraste évident entre ces paisibles metalleux qui pourtant font peur aux grands-mères ignorantes, et les violents supporters qui masque leur hypocrite envie de guerroyer comme des brutes moyen-ageuse sous le vernis autorisé du football, véritable anesthésiant du peuple.

Tout était installé quand les Deftones terminèrent de nous dire de nous enfoncer des choses dans le fondement (shove it!), et les premiers coup de riff d'Anthrax me firent béquiller sourire au lèvres jusque à la scène numéro deux. Je ne vais pas poursuivre ici ce que je disais lors du bal des enragés, nostalgie générationnelle et tout ça, mais je tiens, pour expliquer l'enthousiasme qui va suivre lorsque je parlerais de tout ces groupes aimés, à dire que même s'il arrive très souvent que le show d'une formation que l'on ne connait pas peut nous scotcher grave, être enthousiasmant, voir épiphanique, cela ne procurera jamais la chaleureuse sensation que l'on a à voir le concert d'un artiste dont on connait et aime les chansons. Parce qu'à ce moment là, quand on chante à tue-tête avec le reste de la foule, on a cette sensation quasi-mystique de ne faire qu'un avec les musiciens et les spectateurs : plus de malaise ou de timidité, nous ne sommes plus qu'un seul et même organisme de joie bondissant, et cette fusion vaut peut-être toutes les découvertes du monde. En tout cas, j' ai gueulé "caught in a mosh !" avec ferveur, et j'ai adoré comme le reste du public que notre bonne vieille maladie américaine nous fasse sa bonne vieille reprise d'Antisocial. C'est assez rare qu'un groupe anglo-saxon reprenne un morceau d'un groupe français, il faut donc le signaler.


Je retourne au camping rejoindre ma chère et tendre qui discute avec les allemands, et on écoute de loin, avec un son d'une qualité chaine-hifiesque, le concert d'Iron Maiden. Très agréable, le heavy metal qui bruisse dans les frondaisons. Du bon son et de beaux arbres, il y a de quoi etre content.

On repart ensuite bras dessus-bras dessous pour aller voir Ghost, bien assis sur une chaise de la zone pour grabataire, et un gros bob marley à la main... Il faut que j'avoue quelque chose : J'ai déjà vu les fantômes deux fois, et, on va me hurler dessus, je trouve que souvent, leur musique sent la variété des pieds. Cela dit, ce n'est pas vraiment grave, car ils ont look d'enfer qui nous a toujours fait pardonner les vocalises parfois hésitantes des anti-papes chargés du chant. Or, et c'est bien heureux, cette prestation va être cette fois de haute volée, sans couacs ni prouts. On pourra donc s'amuser avec eux dans ce show satanique et vaudevillesque. Notons que Papa Emeritus III est un garçon d'une élégante bonne éducation sur scène, même s'il doit certainement sacrifier des jeunes vierges au seigneur des mouches dans l'obscurité de messes noires de coulisses. Retour au campement.



On discutaille avec les fritz, toujours aussi sympas. Une hallucination cannabisée me monte au cervelet, je les imagines tous portant uniformes de la wermacht ou des waffen ss, et soudain, une pensée cruelle me presse au coeur : Quand tu penses que nous et ces gars là, si nous étions né quatre-vingts ans plus tôt, on serait en train de se mitrailler la gueule, ça donne le vertige ! Mais les rires de la fête me ramène au présent, en concluant que 1: la seconde guerre mondiale, ce n'était pas de notre faute, puisque nous n'existions pas et 2: ce sont bien les gouvernements, les chefs et le tyrans qui font se dresser les peuples les uns contre les autres, car en ce moment précis nous partageons, rigolons, fumons et buvons avec nos frères humains. Complètement défoncés, on fini par se coucher.



Le deuxième jour, on fait la rencontre de deux ressortissants russes, Anatole et Piotr, pendant l'improbable concert de Babymetal : imaginez trois Idoles couinantes sur du brutal death hyper-sophistiqué. Il n'y a que les japonais pour réussir à combiner des trucs pareils avec le charme de l'absurde. On adore ou on déteste. Pour notre part, on goûte le non-sens d'une oreille gastronome. Nos deux nouveaux amis s'émeuvent avec une sensibilité toute slave de ma triste maladie, tant et si bien qu'a leur retour du concert de Biffy Clyro, ils me prennent chacun par un bras pour me porter jusqu'aux avant-poste du gig de Korn ! Pendant le trajet, j'ai vraiment l'impression d'être un ivrogne dans une nouvelle de Gogol ou de Pouchkine, et je ne peux m'empêcher de sourire durant cet instant de pure littérature. Escorté par les deux gorilles ruskof, je dansouille sur la musique des pionniers neo-metalleux, que j'avais tant aimé avant de les abandonner définitivement, trahi, après le deuxième album. Le souvenir d'un terrible torticolis attrapé à leur concert de 1997 me fait me sentir soudain très vieux. Blind et A.D.I.D.A.S me font décoller, mais le reste me laisse de marbre. Fin des hostilités, calumet de la paix franco-germanique au camping, puis dodo.


La journée du dernier jour s'écoule paisiblement jusqu'à l'heure de Megadeth, où on apercevra fugacement la tignasse de Dave "sale carafon mais mythique" Mustaine, en lui envoyant quelque gestes de respect absolu.


On va vite se placer pour Rammstein, sur la plate-forme pour personne à mobilité réduite, comme on dit chez les langues de bois. La position, bien qu'un peu éloignée, nous offre une vue parfaite, dans un axe diagonal, sur la scène, recouverte d'un immense rideau frappé des armoiries du groupe. A 21h59 précise, un compte à rebours se déclenche sur les écrans géants : 60, 59, 58... Jusqu'au 3, 2, 1, BOUM ! Qui lance le début du show avec d'impressionnants feux d'artifice rouges. On comprend tout de suite pourquoi chaque musicien du groupe possède son diplôme d'artificier, quand la folie pyrotechnique se déchaine : lances flamme, roues de feu, acier en fusion et tir de roquettes se succèdent au fil des tubes.


Notre fascination immémoriale pour le feu marche à plein régime, la foule est en liesse et chante. Les Rammstein jouent pratiquement tout leur morceaux les plus fameux, à l'exception de celui, éponyme, que l'on entend dans le Lost Highway de David Lynch. Mon coeur de cinéphile est un tout petit peu déçu, mais c'est une déception plus que minime, quasiment microscopique. Je regarde fasciné les geysers de flamme jaillir du poteau planté en vis-à-vis de la scène, à une cinquantaine de mètres. On dirait un derrick qui brule la nuit dans le désert. A la fin de la prestation, on classe ces germains-là avec leurs ancêtres expressionnistes et romantiques, dont ils sont, finalement, des sortes d'héritiers en ligne directe : lyriques, effrayants, esthétiques. C'est la fin du festival.


C'est pendant cette dernière nuit qu' a lieu l'unique mais magnifique moment de pure folie du camping : Une foule en colère commence à se rassembler devant l'accès fermé vers le bar-métal, aux cris scandés de "on-veut-de-la-bière" et "li-bé-rez-le-bar-métal (sic)". Elle est repoussé dans la bonne humeur par les vigiles. Quelques minutes plus tard, on aperçoit quelques campeurs subtiliser le grand drapeaux du poste de secours, et plusieurs minutes après, c'est carrément une armée qui arrive, poussant des meuglements de spartiates ! La multitude des métalleux a arraché tout les poteaux des emplacements et les portent telles des hallebardes improvisées. Cette fois-ci, le masque de bonhommie de la sécurité cède la place à une véritable expression de stupeur. Les armées du Mordor leur font face, prêtes à charger ! Apres un long silence, puis de virils aboiements guerriers, la troupe se lance, armes en avant, sur les portes.


C'est un moment d'une grande beauté poétique, où on a l'impression d'assister à une nouvelle bataille d'Hastings. Les mottes de terres s'arrachent du sol, on entend le grondement des pas, les vibrations telluriques qui se propagent dans la boue, la terreur dans les yeux des agents de sécurité...Magnifique tableau barbare. Mais les hardos ne sont que de gentils farceurs, et stoppent leur courses juste avant de frapper, pour retourner en rigolant dans leurs huttes de toiles, en mettant un point final épique à ce sympathique festival.

Photos gonzo : Vince (+ Philippe)

Download Festival France : les dernières chroniques concerts

Download Festival 2018 : Foo Fighters - Dead Cross - The Hives en concert

Download Festival 2018 : Foo Fighters - Dead Cross - The Hives par Lebonair
Base Aérienne - Bretigny sur Orge (91), le 17/06/2018
Dead Cross - Main Stage 2 - 17h 50 18h50 On est heureux de retrouver un de nos idoles de jeunesse, le fou chantant Mike Patton dans son dernier projet Dead Cross. On a... La suite

Download Festival 2018 : Wolf Alice - Royal Republic - Slaves en concert

Download Festival 2018 : Wolf Alice - Royal Republic - Slaves par Lebonair
Base Aérienne - Bretigny sur Orge (91) , le 17/06/2018
Présentation Download France 2018 - 3ème édition La troisième édition française du Download Festival s'est déroulé durant 4 jours du 15 au 18 juin dernier sur la base... La suite

Volbeat + Rammstein (Download festival France 2016) en concert

Volbeat + Rammstein (Download festival France 2016) par Lebonair
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 12/06/2016
Volbeat On vient à peine d'apprécier la magnifique prestation de Rival Sons sur la Stage 2 qu'il va falloir traverser l'hippodrome dans toute sa longueur afin... La suite

Rival Sons (Download Festival France 2016) en concert

Rival Sons (Download Festival France 2016) par Lebonair
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 12/06/2016
Nous voilà dimanche, on est arrivé plus tard encore sur le site par rapport aux journées précédentes notamment en raison du métal qui use et de la programmation sans intérêt... La suite

Anthrax : les dernières chroniques concerts

ANTHRAX + THE RAVEN AGE en concert

ANTHRAX + THE RAVEN AGE par Osogaru
L'Elysée Montmartre, Paris, le 16/03/2017
The Raven Age En première partie d'Anthrax ce soir, nous retrouvons - comme sur l'ensemble de la tournée - les Anglais de The Raven Age pour un set de 45 minutes. Déjà vu ce... La suite

Hellfest 2016 1er jour (Rammstein, Nashville Pussy, Le Bal des Enragés, Halestorm, Mass Hysteria, Anthrax, Turbonegro, Bullet For My Valentine, Hatebreed, Volbeat, Dropkick Murphys) en concert

Hellfest 2016 1er jour (Rammstein, Nashville Pussy, Le Bal des Enragés, Halestorm, Mass Hysteria, Anthrax, Turbonegro, Bullet For My Valentine, Hatebreed, Volbeat, Dropkick Murphys) par Abigail Darktrisha
Clisson , le 17/06/2016
Après l'anniversaire pour les 10 ans du festival l'an dernier, c'est donc toujours avec autant d'ardeur que s'ouvrira cette deuxième décennie musicale en ce mois de juin... La suite

Anthrax en concert

Anthrax par Mael Hardbriche
La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand, le 28/10/2015
Alors que la foule affluait pour la deuxième soirée consécutive vers le Zénith d'Auvergne à l'occasion de la tournée d'outre tombe de Johnny Hallyday, la Grande Coopé en... La suite

Sonisphere Festival 2011 : Metallica, Megadeth, Slayer, Mass Hysteria,  Anthrax, Volbeat, Diamond Head  en concert

Sonisphere Festival 2011 : Metallica, Megadeth, Slayer, Mass Hysteria, Anthrax, Volbeat, Diamond Head par Abigail Darktrisha
Snowhall Parc - Amnéville, le 09/07/2011
Cette deuxième journée me parle beaucoup plus musicalement car j'y retrouve bon nombre de groupe que j'aime en terme de thrash. Elle débutera par un incident que je souhaite... La suite

Iron Maiden : les dernières chroniques concerts

Meshuggah, Clutch, Iron Maiden, Porcupine Tree, Gorod,Grandma's Ashes, Loathe, Svalbard, Fever 333, Hierophant, Bloodywood, Scarlean en concert

Meshuggah, Clutch, Iron Maiden, Porcupine Tree, Gorod,Grandma's Ashes, Loathe, Svalbard, Fever 333, Hierophant, Bloodywood, Scarlean par Pipoulem
Hellfest Clisson, le 17/06/2023
Hellfest 2023 17 juin 2023 - Meshuggah, Clutch, Iron Maiden, Purcupine Tree, Gorod,Grandma's Ashes, Loathe, Svalbard, Fever 333, Hierophant, Bloodywood, ScarleanApres deux jours de... La suite

(mon) Hellfest 2023, 3-3 : Bloodywood, Kalandra, Spiritworld, Puscifer, Arch Enemy, Powerwolf, Iron Maiden, The Hu, Carpenter Brut  (+ The Dali Thundering Concept, King Buffalo, Crowbar, Beasts in Black, Pro-Pain, Earthless, Black Flag, Voivod) en concert

(mon) Hellfest 2023, 3-3 : Bloodywood, Kalandra, Spiritworld, Puscifer, Arch Enemy, Powerwolf, Iron Maiden, The Hu, Carpenter Brut (+ The Dali Thundering Concept, King Buffalo, Crowbar, Beasts in Black, Pro-Pain, Earthless, Black Flag, Voivod) par Philippe
Site du Hellfest, Clisson, le 17/06/2023
Hey, mais c'est déjà le "toujours-difficile-troisième-jour-du-Hellfest" ?! On a pourtant mieux dormi, on a toujours la patate (une fois écartée la légère gueule de bois d'hier... La suite

Iron Maiden (The Legacy Of The Beast World Tour 2022) en concert

Iron Maiden (The Legacy Of The Beast World Tour 2022) par Florentine Pautet
Paris La Défense Arena, le 26/06/2022
C'était la soirée des pointures du metal en France. Si Metallica jouait au Hellfest, c'est dans la capitale qu'il fallait être pour l'autre tête d'affiche : Iron Maiden. Se... La suite

The Iron Troopers + Into the Deep + Zepset en concert

The Iron Troopers + Into the Deep + Zepset par Jérôme Justine
Salle Dumoulin, Riom, le 08/12/2018
En ce samedi 8 décembre 2018, c'est vers la belle ville d'Auvergne nommée Riom le Beau, et plus exactement vers une Puce à l'Oreille délocalisée dans la Salle Dumoulin que je me... La suite

Megadeth : les dernières chroniques concerts

Hellfest 2016 3ème jour (Tarja, Gojira, Bling Guardian, Slayer, Amon Amarth, Megadeth, Ghost, Black Sabbath, King Diamond) en concert

Hellfest 2016 3ème jour (Tarja, Gojira, Bling Guardian, Slayer, Amon Amarth, Megadeth, Ghost, Black Sabbath, King Diamond) par Abigail Darktrisha
Clisson, le 19/06/2016
TARJA 15h50-16h40 En ce 3ème et dernier jour c'est un peu plus tard dans la journée que débutera pour nous les festivités avec le métal symphonique Finlandais de Tarja... La suite

(mon) Download Festival 2016 : Lofofora, Strange Bones, Trivium, New Years Day, Children of Bodom, Sabaton, Rival Sons, Volbeat, Last Train, Megadeth, Rammstein en concert

(mon) Download Festival 2016 : Lofofora, Strange Bones, Trivium, New Years Day, Children of Bodom, Sabaton, Rival Sons, Volbeat, Last Train, Megadeth, Rammstein par Philippe
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 12/06/2016
Arrivée en France du Download Festival, le gros machin metal de Live Nation, donc ? Personne n'est dupe, ce n'est pas de la philanthropie, l'idée est évidemment d'aller empiéter... La suite

Hellfest 2012 - Lizzy Borden + Street Dogs + Unisonic + Gotthard + Turbonegro + Dropkick Murphy's + Megadeth + King Diamond (Hellfest 2012) en concert

Hellfest 2012 - Lizzy Borden + Street Dogs + Unisonic + Gotthard + Turbonegro + Dropkick Murphy's + Megadeth + King Diamond (Hellfest 2012) par Abigail Darktrisha
@ Clisson, le 15/06/2012
Choisir entre le Hellfest et le Azkena Rock, qui se déroulait à une journée près en même temps, n'a pas été chose facile au vu de la belle affiche du festival Espagnol avec... La suite

Sonisphere Festival 2011 : Metallica, Megadeth, Slayer, Mass Hysteria,  Anthrax, Volbeat, Diamond Head  en concert

Sonisphere Festival 2011 : Metallica, Megadeth, Slayer, Mass Hysteria, Anthrax, Volbeat, Diamond Head par Abigail Darktrisha
Snowhall Parc - Amnéville, le 09/07/2011
Cette deuxième journée me parle beaucoup plus musicalement car j'y retrouve bon nombre de groupe que j'aime en terme de thrash. Elle débutera par un incident que je souhaite... La suite

Rammstein : les dernières chroniques concerts

Rammstein (+ Duo Abélard) en concert

Rammstein (+ Duo Abélard) par Philippe
Groupama Stadium, Decines Charpieu, le 08/07/2022
Bon. J'aurais préféré que quelqu'un d'autre s'y colle : ayant déjà vu Rammstein en live en 2005 aux Arènes de Nîmes (ce qui reste l'un des plus beaux concerts de ma vie), mais... La suite

Rammstein en concert

Rammstein par lol
Paris La Défense Arena, Nanterre, le 29/06/2019
A y réfléchir, il faut être un peu masochiste pour aller voir Rammstein en concert. Car, par certains côtés, on a la sensation de se retrouver téléporté au cœur d' un film de... La suite

Rammstein en concert

Rammstein par Gandalf
Barcelona, le 01/06/2019
Alors j'en ai vu des concerts de Rammstein depuis 1998... Et des concerts tout court n'en parlons pas... Mais hier soir c'était encore autre chose. Objectivement c'était... La suite

Rammstein (Festival de Nîmes 2017) en concert

Rammstein (Festival de Nîmes 2017) par Gandalf
Les Arènes de Nimes, le 12/07/2017
12 ans après le mythique live des Allemands de Rammstein dans ces mêmes arènes, immortalisé sur un non moins mythique dvd officiel, les voici de retour pour 3 dates... La suite

The Deftones : les dernières chroniques concerts

(mon) Hellfest 2022, 1-3 : Frank Carter, Necrophobic, Opeth, Offspring, Mastodon, Dog Eat Dog, Dropkick Murphys, Baroness (+ Abbath, Deftones, Electric wizard, Mayhem) en concert

(mon) Hellfest 2022, 1-3 : Frank Carter, Necrophobic, Opeth, Offspring, Mastodon, Dog Eat Dog, Dropkick Murphys, Baroness (+ Abbath, Deftones, Electric wizard, Mayhem) par Philippe
Site du Hellfest, Clisson, le 17/06/2022
"We'll be back, someday, motherfuckers !" - ce que l'on peut évidemment traduire par "Nous reviendrons, un jour, les petits chatons !" : ainsi se terminaient les chroniques de... La suite

Deftones - Iron Maiden (Download Festival France 2016) en concert

Deftones - Iron Maiden (Download Festival France 2016) par Lebonair
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 10/06/2016
Deftones Encore un groupe que Concertandco avait interviewé lors de leur précédente tournée, c'était en septembre 2013 lors de leur dernière date parisienne au Zénith... La suite

Entretien avec les Deftones à l'occasion de leur passage en live au Zénith de Paris en septembre 2013 en concert

Entretien avec les Deftones à l'occasion de leur passage en live au Zénith de Paris en septembre 2013 par Lebonair
Le Zénith, Paris, le 20/09/2013
Deux heures avant de monter sur la scène du Zénith de Paris (lire la chronique du concert ici) pour la dernière date de la tournée estivale de Deftones en Europe, Sergio Vega,... La suite

Deftones en concert

Deftones par Lebonair
Le Zénith, Paris, le 06/09/2013
Deftones, le quintet originaire de Sacramento, est revenu jouer à Paris, au Zénith en ce 6 Septembre 2013, quelques mois après les deux Trianon complets et 12 ans après leur... La suite

The Ghost : les dernières chroniques concerts

(mon) Rock en Seine 2015, 1/2 : Ghost, Jeanne Added, Benjamin Clementine, Jacco Gardner, FFS / Franz Ferdinand & Sparks, (Offspring) en concert

(mon) Rock en Seine 2015, 1/2 : Ghost, Jeanne Added, Benjamin Clementine, Jacco Gardner, FFS / Franz Ferdinand & Sparks, (Offspring) par Philippe
Saint-Cloud, Parc de Saint-Cloud, le 28/08/2015
Petit plaisir annuel de fin d'été : venir passer un dernier beau week-end à Paris ... et à Rock en Seine, pour la neuvième fois déjà, en ce qui me concerne - comme le temps passe... La suite

Hippodrome Longchamp, Paris : les dernières chroniques concerts

Pearl Jam (Festival Lollapalooza Paris 2022) en concert

Pearl Jam (Festival Lollapalooza Paris 2022) par lebonair
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 17/07/2022
Ce dimanche 17 juillet 2022 à 21h30, un miracle a eu lieu à Paris car on n'y croyait vraiment plus. On parle évidemment de Pearl Jam, qui a enfin joué en France, eux qui nous... La suite

The Rolling Stones (Sixty Tour Europe 2022) en concert

The Rolling Stones (Sixty Tour Europe 2022) par Electric Eye
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 23/07/2022
Il faut s'y faire : c'est la fin pour les Rolling Stones. On aimerait bien en reprendre pour soixante ans, mais comme le décès de Charlie Watts l'an dernier nous l'a... La suite

Pearl Jam, Maneskin (Lollapalooza Paris 2022) en concert

Pearl Jam, Maneskin (Lollapalooza Paris 2022) par JM
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 17/07/2022
Bon, il est clair que sans Pearl Jam, jamais je n'aurais mis les pieds au festival Lollapalloza Paris. En dehors du groupe emmené par Eddie Vedder et de Maneskin je ne... La suite

Perry Farrells Kind Heaven Orchestra, The Strokes, Ben Harper, Cosmopaark, Jain, IAM, Roméo Elvis, Orelsan, Nekfeu, Twenty One Pilots, Migos... (Lollapalooza Paris 2019) en concert

Perry Farrells Kind Heaven Orchestra, The Strokes, Ben Harper, Cosmopaark, Jain, IAM, Roméo Elvis, Orelsan, Nekfeu, Twenty One Pilots, Migos... (Lollapalooza Paris 2019) par Samuel C
Hippodrome de Longchamp - Paris, le 21/07/2019
Les couronnes de fleurs sont parfaitement ajustées sur les têtes et le maquillage délicatement posé sur des visages heureux, les sourires sont éclatants et les t-shirts très... La suite