Interpol est un quatuor new-yorkais pratiquant un rock sec et incisif marqué par le post punk et Joy Division. Après un concert complet en 2019 pour promouvoir leur album "Marauder" (sortie le 24 août 2018, premier single "The Rover"), les new-yorkais d'Interpol prennent à nouveau d'assaut la Salle Pleyel le 18 juin 2022 prochain pour une date française unique.
Interpol : tous les concerts
Di.
04
Juin
2023
Ve.
07
Juillet
2023

Chateau de Beauregard - Herouville St Clair (14)
16H pass 3 jours : 90€ / Pass 4 jours : 120€
Ma.
18
Juillet
2023

Site Paléo Festival - Nyon (Ch)
20H00
Interpol : l'historique des concerts
Sa.
18
Juin
2022
Je.
09
Juin
2022

Parc del Forum - Barcelone
Di.
07
Juillet
2019

Chateau de Beauregard - Herouville St Clair (14)
Je.
04
Juillet
2019

Chateau de Beauregard - Herouville St Clair (14)
Je.
04
Juillet
2019

Presqu'ïle de Malsaucy - Belfort (90)
Je.
04
Juillet
2019

Presqu'ïle de Malsaucy - Belfort (90)
Ma.
02
Juillet
2019
Lu.
01
Juillet
2019

Théâtre Antique de Fourvière (69)
Interpol : les dernières chroniques concerts 39 avis
NOS Primavera Sound Porto 2022 - Jour 3 : Gorillaz, Little Simz, Dry Cleaning, Grimes, Squid, Dinosaur Jr., Khruangbin, Interpol, Pile, Jawbox

C'est le troisième et dernier jour du festival NOS Primavera Sound Porto et aujourd'hui j'ai tout planifié presque militairement. Ce soir je donne tout, je tiens jusqu'à 1h pour Gorillaz, pas le choix. Arrivée à 16h30, je fais un tour histoire de dépenser mon argent (que je n'ai pas, mais je suis une fashion victim des merchandisings). Dry Cleaning 17h, je suis devant Dry Cleaning qui n'avait pas pu venir au festival Levitation France, à Angers, le week-end dernier. Et bien avec Little Simz, c'est mon coup de cur du festival ! Malgré la chaleur et le soleil insistant sur ma tête dépourvue de couvre chef, je ne bouge pas d'un poil, je bois le flow de la chanteuse à la voix légèrement grave, je regarde les doigts du gratteux portant un t-shirt Neurosis bouger frénétiquement, et suis heureuse pour ce groupe qu'il y ait autant de monde dès l'ouverture. Au menu : ballades enivrantes et inquiétantes grâce à une basse bien présente et aux mimiques de la leadeuse aux cheveux supra méga longs. Nous applaudissons longtemps, et ils sont aussi en joie que nous. Pile C'est parti pour les allers retours scène Binance, Nos, Cupra. Pile, dont j'ai beaucoup entendu parler, est efficace : des riffs et des cris acérés aux notes... Lire la suite
Slash feat. Myles Kennedy and the Conspirators - Interpol - NTM (Eurockéennes de Belfort 2019)

La 31ème édition des Eurockéennes de Belfort s'est achevée dans la nuit du dimanche au lundi à 1 heure 30 du matin. Après 4 jours de musique qui ont reflété notre époque au travers des 58 artistes programmés sur les 4 scènes situés dans un cadre idyllique la presqu'île du Malsaucy. Et ce ce sont donc les citrouilles, The Smashing Pumpkins, qui ont clôturé sur la grande scène ce merveilleux évènement. Au niveau de la météo, on a eu beaucoup de chance. On nous avait annoncé pour le samedi et le dimanche des orages, la grêle, des rafales de vent et finalement, rien de tout cela. On est quand même passé tout près. Résultat, sur les 4 jours, le temps a été au rendez-vous avec une star à l'honneur, la poussière. Elle n'a évidemment rien gâché mais elle s'est invitée régulièrement dans nos oreilles et nos narines, surtout durant les deux derniers jours. Slash feat Myles Kennedy and the Conspirators 20h 21h15 Grande Scène Cela tombe bien, on va démarrer notre festival avec un musicien considéré comme étant un des meilleurs guitaristes au monde et qui a parfois mangé la poussière à certains moments de sa carrière. Slash est revenu depuis quelques années au sommet de la montagne Hard Rock grâce à sa rencontre avec... Lire la suite
Interpol + Idles (Nuits de Fourvière 2019)
Critique écrite le 06 août 2019, par Cathy et Jeff Ville
Théâtre Antique de Fourvière - Lyon 1er Juillet 2019

Idles Ils n'ont pas le même look, les visages juvéniles imberbes ont été supplantés par des visages d'hommes murs garnis de barbes bien taillées, les coupes en pétard voir à l'iroquoise ont laissé place à des cheveux abondants presque coiffés, à l'exception du bassiste qui compense sa calvitie par une barbe digne du père créateur. J'oubliais les épingles à nourrice, prémisse du piercing, qui se sont transformées en tatoo d'enfer. La musique, les sons, les arrangements, enfin presque tout a changé, mais oui, fuck it, c'est bien du PUNK. Les sujets de sa majesté ont bien cela dans le sang et inutile de tenter une quelconque riposte, ou pire imitation, c'est du pur. Soi-disant en première partie d'Interpol, Idles a joué une bonne heure, comme si c'était le groupe principal et je ne m'en plaindrai point. Même si la météo n'était pas de notre côté car nous avons essuyé un orage pendant une bonne partie du concert. Fort heureusement pas au niveau de ce qu'ont subi les Savoyards ou les Stéphanois, mais pas de tout confort tout de même. Le côté sympa, c'est que le groupe a joué le jeu en revêtant les ponchos en plastique transparent vendus par les organisateurs des Nuits de Fourvière, tout comme une bonne partie du public. Ce qui... Lire la suite
Interpol

En 2004, Interpol sortait "Antics", qui est indiscutablement l'un des 10, voire même 5, meilleurs albums de rock sorti pendant la première décennie du millénaire dans lequel nous vivons. Sous haute influence Joy Division, porté par la voix grave et envoûtante de Paul Banks, il succédait avec brio à un premier album déjà hautement recommandable "Turn on the Bright Lights". Si les albums qui suivirent "Antics" ne réussirent malheureusement pas à retrouver sa plénitude, ils continuaient de tracer un sillon tout à fait honorable faisant d'Interpol une valeur sure du rock indépendant, malgré quelques changements de personnel et une tentative d'escapade solo de Banks. Malgré ce pedigree hautement recommandable le concert d'Interpol à la salle Pleyel fut un désastre et d'un ennui mortifère. Ce groupe fait donc partie, à l'instar des... Lire la suite
Interpol : les chroniques d'albums
Interpol : Interpol
Chronique écrite le 07/09/2010, par Pierre Andrieu

Après la parution de l'album solo du chanteur d'Interpol, Paul Banks, sous le nom de Julian Plenti, les rumeurs allaient bon train sur l'éventuelle fin du groupe post punk new yorkais... Ce ne sera pas pour cette fois (" Damned, encore raté ! ", s'insurgeront les contempteurs du combo marqué au fer rouge par Joy Division) puisque le groupe revient aujourd'hui avec un quatrième album éponyme, un disque pas surprenant pour un sou certes (comme sur ces précédents efforts, le son d'Interpol est identifiable en quelques secondes), mais comportant assez de titres forts pour mériter qu'on s'y attarde. Son crépusculaire, voix lugubre annonçant quelque tragédie en cours ou à venir, arrangements très touffus, mid tempo invitant à se poignarder en pensant à des choses désespérées, titres plus rapides invitant, quant à eux, à enfourcher un puissant véhicule motorisé pour se projeter avec celui-ci contre un mur : Interpol fait du Interpol, sans chercher à bouger d'un iota, sans essayer de modifier la tonalité sur laquelle il souhaite faire vibrer la corde sensible de l'auditeur pour lui donner envie de se pendre (pour de faux !) avec classe... Comme le titre du morceau Always Malaise le suggère, Paul Banks, Sam Fogarino, Daniel Kessler et Carlos... Lire la suite
Interpol : Antics
Chronique écrite le 11/11/2004, par Pierre Andrieu
Après un premier album aussi glacial que fiévreux et une tournée marquante restée dans toutes les mémoires, les new-yorkais d'Interpol remettent le couvert avec un nouvel effort studio - moins immédiat mais se révélant envoûtant - aussitôt suivi par une tournée française en compagnie des prometteurs Bloc Party... Les concerts qui s'annoncent risquent à nouveau de produire un incroyable effet sur les audiences, les titres d'Antics tenant parfaitement la route (comme par exemple l'enchaînement ultra puissant de Slow hands et Not even jail). On ne change pas une formule qui marche, voilà la ligne directrice qui semble avoir prévalu lors des sessions d'enregistrement. Ceux qui ont aimé le premier opus se retrouveront donc dans ces dix nouveaux morceaux de rock tourmenté, inquiétant et évocateur. Si on ne constate pas de grands bouleversements, les quatre dandys d'Interpol semblent plus sûrs d'eux, le niveau global a... Lire la suite
Interpol : OBSTACLE 1
Chronique écrite le 15/03/2003, par Pierre Andrieu
Ce single est extrait du bouleversant premier album d'Interpol, Turn on the bright lights. L'achat de l'album complet semble plus indiqué mais ce single peut permettre aux personnes n'ayant pas encore succombé à cet Himalaya du rock envoûtant de découvrir le magnifique titre...
Interpol : Turn On The Bright Lights
Chronique écrite le 16/10/2002, par Pierre Andrieu

Serait-il désormais possible de recréer artificiellement la voix d'une personne défunte avec son ADN ? L'écoute de la voix du chanteur d'Interpol, qui évoque immanquablement Ian Curtis, le laisserait supposer ! Renseignements pris, pas de manipulations génétiques inavouables chez ce groupe originaire de New-York ; Carlos D, Daniel Kessler, Paul Banks et Samuel Fogarino ont sans doute tout simplement été très influencés par Joy Division... Si l'ambiance de ce disque, plutôt hivernale, sombre et d'un romantisme échevelé peut rappeler la grande période de la cold wave des années 80, tout le talent de ces quatre musiciens consiste à injecter du sang neuf dans leurs compositions. On ne peut donc parler de plagiat ou de tribute band, Interpol ayant une véritable personnalité et le... Lire la suite
Interpol : Vidéo
Interpol : écoute
Top Pop-Rock
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