Accueil Chronique de concert Hellfest et Knotfest 2019 : Slayer, Slipknot, Gojira, Slash, Daughters, Phil Anselmo & The Illegals, Uncle Acid and the Deadbeats, Kvelertak, All Them Witches, Behemoth, Amon Amarth, Kiss, Rob Zombie, Sabaton, Kvelertak, Sisters of Mercy...
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Chronique de Concert

Hellfest et Knotfest 2019 : Slayer, Slipknot, Gojira, Slash, Daughters, Phil Anselmo & The Illegals, Uncle Acid and the Deadbeats, Kvelertak, All Them Witches, Behemoth, Amon Amarth, Kiss, Rob Zombie, Sabaton, Kvelertak, Sisters of Mercy...

Hellfest et Knotfest 2019 : Slayer, Slipknot, Gojira, Slash, Daughters, Phil Anselmo & The Illegals, Uncle Acid and the Deadbeats, Kvelertak, All Them Witches, Behemoth, Amon Amarth, Kiss, Rob Zombie, Sabaton, Kvelertak, Sisters of Mercy... en concert

Clisson 20-23 juin 2019

Critique écrite le par



55 000 pass 3 jours pour le Hellfest 2019 écoulés en 2 heures ! Ce n'est pas rien, d'autant que la majeure partie de la programmation était inconnue au moment du fait. C'est dire la confiance aveugle que font les festivaliers au désormais très célèbre Hellfest, aujourd'hui réputé comme étant l'un des (le ?) plus importants festivals européens de musiques extrêmes. Outre sa programmation exceptionnelle, son succès tient beaucoup aux aménagements du site lui-même. Tantôt décrié pour son côté Disneyland, tantôt loué pour ce même aspect, l'ensemble reste néanmoins un exemple splendide en termes d'organisation et d'infrastructures. C'est aussi la marque du premier schisme qui divise les festivaliers aujourd'hui. Certains viennent pour l'ambiance, motivés par une sorte de hype qui entoure le festival depuis quelques années, d'autres, pionniers de l'événement ou simple amateurs avisés, sont là pour offrir corps et âme à leur passion. Ces publics se croisent et tentent de concilier leurs divergences. On constate aujourd'hui sur les réseaux sociaux de nombreuses réactions à ce sujet. Des " problèmes de riches " pourrait-on dire car ce sont là les conséquences d'un succès immense dont il vaut mieux profiter aujourd'hui, si l'on se place du côté de l'organisation, car on ne sait jamais comment pourrait tourner le vent demain.



On ne peut malgré tout reprocher cela à la production du festival qui joue bien son rôle en proposant à la fois une programmation de qualité, un environnent agréable à vivre et très divertissant. En tant que fan, on peut regretter parfois le manque d'engagement ou le voyeurisme de certains, mais peut-on pour autant décider de qui est en droit d'y participer ou pas ? On ne le pense pas, même si idéalement on aimerait partager la même émotion. La vie est faite de contrastes et de paradoxes, divisions intérieures qu'on ne sait pas toujours gérer, c'est comme ça.
Comme tous les ans, le Hellfest impressionne par sa programmation, mais cette année a une saveur toute particulière grâce à la tenue du Knotfest sur son site. Doit-on remercier Download France d'avoir succombé ? La bataille semble remportée cette année et on se complaît à chanter la victoire de l'indépendance sur les grosses machines montées de toute pièce et parachutée là pour spolier le travail acharné des vrais aficionados. Pure spéculation ou imagination débordante, souhaitons tout de même que cette victoire ait pour conséquence l'enrayement de la course au cachet, véritable cancer pour l'ensemble des acteurs, organisateurs et festivaliers. Quoiqu'il en soit, cette année il n'en restait qu'un et il était accompagné par un invité de marque !



JOUR 1 : KNOTFEST MEETS HELLFEST

Tout commence par une voiture pleine, un long voyage routier durant lequel on partage notre excitation de voir tel ou tel groupe, essayant de motiver les uns ou les autres pour assister à certaines nouveautés ou exclusivités. On arrive sur site, on galère à trouver un emplacement digne pour sa tente, on marche beaucoup sous une chaleur écrasante, bref on en bave tout le temps mais on est toujours heureux de participer enfin à cet événement qu'on attend depuis presque un an. Ministry à déjà commencé à jouer, dommage, c'est aussi trop tard pour Sick of It All et Amaranthe, mais au fond on s'en fout car on sait qu'il reste tant à voir et qu'on n'aura jamais ni le temps, ni la force de suivre le programme utopique qu'on s'est fixé. On prend plaisir à entendre au loin le grondement qui émane des scènes principales alors qu'on redécouvre, ébahit, le Hellcity Square, version extrême de Camden Street à Londres, la porte cathédrale qui ouvre sur une oasis sonique et les installations fantasmagoriques du reste du site : statue d'un bras brandissant ses cornes, monument en hommage à Lemmy, horloge de l'enfer, bars à thème et autre avenue de la sustentation.

Behemoth

Quand on arrive enfin aux abords de la MainStage 2, réservée pour la soirée aux groupes européens, les inquiétants membres de Behemoth sont en place. Ils proposent une mise en scène lugubre, soutenue par des effets pyrotechniques indispensables à leur univers, qui forcent l'attention et le respect pour un lourd travail accompli. C'est du moins ce qui s'en ressent à les observer. Arborant de fantastiques corpse paint et de sombres costumes, ils déroulent un scénario macabre et habitent aisément le site avec un son puissant. Rien à dire là-dessus, quand on sait la difficulté pour certains, même les plus aguerris, de se régler sur de telles scènes. Pour le coup, on regrette un peu moins de ne pas les avoir vu en salle, à Lyon par exemple en janvier dernier. Outre l'intro enregistrée intitulée "Solve", issue de leur dernier album, et l'outro du même opus, "Coagulate" (termes que l'on retrouve inscrits sur les bras de Baphomet, censés symboliser l'équilibre du Grand Œuvre alchimique), le groupe nous offre une setlist de rêve débutée avec le très épique "Wolves Ov Siberia", suivi de près par un "Ora Pro Nobis Lucifer" apocalyptique. S'en suit une alternance de nouveaux et anciens morceaux tels que "Bartzabel", "Sabbath Matter" ou encore "Conquer All". C'est un véritable plaisir à voir et on ressent l'application des membres pour rendre le meilleur effet tant d'un point de vue musical que visuel. Ils sortent de scène et se changent, leurs masques sinistres se couvrent de couleurs sanguinolentes à mesure que le spectacle avance, leur présence scénique est impeccable. Le concert s'achève sur un sentiment d'accomplissement et de bons augures. Il est temps de fuir la grande scène pour procéder à un examen plus approfondi du site. Il se trouvera bien quelques autres spécialistes pour vous parler de Papa Roach et Powerwolf. On se rend au " musée éphémère de Slipknot ", installé pour l'occasion à l'ombre d'un chapiteau devant la scène Temple. C'est légèrement décevant en terme de scénographie, les reliques du groupe étant disposée assez loin, le long d'un arc de cercle sans plus d'explications ni de commentaires. On peut voir leurs anciens masques, costumes et autres instrument... peut-être même ici, la basse du regretté Paul Gray. Le plaisir est anecdotique.


Rob Zombie

Retour sur la MainStage 1 pour assister au concert de Rob Zombie, avec une légère arrière pensée, celle d'être bien placé pour l'événement de la soirée, les très attendus Slipknot. Le fondateur de White Zombie, réalisateur émérite de bijoux tels que La maison des 1000 morts ou encore The Devil's Rejects, offre un show psychédélique façon " redneck ", des écrans projetant des couleurs acides ou encore des extraits de ses films, des déguisements dignes d'un cirque des horreurs et bien-sûr, un métal Indus relevé à la sauce BBQ qui ne manque pas de faire bouger les culs ! On peut entendre des hymnes tels que "Meet the Creeper", "Living Dead Girl" ou encore "Dragula", des reprises de White Zombie, celle de "Helter Skelter" dont l'interprétation laisse à désirer, mais qui sera vite contrebalancée en fin de set par un légendaire "Blietzkrieg Bop". Au final, on passe un bon moment dans cette longue file d'attente, rien de plus, rien de moins, peut-être qu'on aurait mieux apprécié la performance si elle avait été programmée un peu plus tard dans la soirée.

Amon Amarth

On reste du côté de la MainStage 1 pour assister, un peu par défaut, à la performance d'Amon Amarth qui se tient sur l'autre MainStage. Toujours cette idée d'être aux premières loges pour voir nos hôtes de près. Eh bien quelle surprise ! Un très gros son propulsé par ces apôtres suédois d'un Death mélodique et la puissance vocale de leur frontman. La décoration est amusante, principalement axée autour d'un énorme casque viking sur lequel repose la batterie. On se surprend même à reprendre en cœur le refrain "très arrosé" de Raise Your Horns (il s'agirait d'une ode à la boisson). Au final, on y reviendra surement un jour tant c'est saisissant. L'effet " festival " fonctionne.


Slipknot

Quand arrive le tour de Slipknot, la fébrilité de chacun est palpable aux alentours. Un rideau flanqué de leur logo masque les derniers préparatifs, il y a un peu de retard. L'attente est à la hauteur de l'événement et on suppose que derrière, la pression commence à monter. On pense aux récents évènements qui ont ponctués la vie du groupe (exclusion de Chris Fehn, décès tragique de la fille du Clown etc.) et on se demande comment le groupe arrive à gérer tout ça. Puis on se ravise, Slipknot est une véritable entreprise de divertissement à l'instar de nombreux autres groupes, Show must go on, le rideau tombe et c'est parti pour la baston ! La foule acclame et hurle un tonitruant "People=Shit", tout en essayant de concilier son envie de se jeter partout et d'observer les nouveaux avatars du groupe. La scène est massive, à tel point qu'on regrette un peu qu'elle masque le travail du batteur. Pourtant, visuellement ça fonctionne, ça bouge de partout, les percussionnistes flanquent le décor et encadrent le reste du groupe. Rien à dire sur cette entame qui se poursuit avec l'enchainement de "(sic)" et "Get This", si ce n'est une légère inquiétude quant au son qui paraît faiblard en comparaison du set précédent... On se dit que ça va passer. Vient la première nouveauté, "Unsainted", un titre sorti très récemment et annonçant le futur sixième album. Malgré un refrain chanté qui peut laisser circonspect, on apprécie la férocité du reste. On garde le cap et on enchaine avec le virulent "Disasterpiece", puis avec "The Heretic Anthem" introduit par Corey Taylor qui demande à la foule de crier avec lui : " If you're 555, then I'm 666 !".



Malheureusement, il semble que le son ne s'améliore pas et on commence même à entendre quelques réclamations dans le public. Le reste est une succession de titres que les fans des deux premiers albums apprécieront moyennement malgré une générosité infaillible et indiscutable de la part du groupe. On se retrouve un peu sur "All Out Life" (autre titre tiré du prochain opus) et surtout pour un final classique, mais efficace et plus qu'espéré, composé de "Spit It Out" et de "Surfacing" ! Tout est là finalement, Corey Taylor célèbre la fusion des deux festivals et demande à la foule de s'agenouiller pour mieux rebondir sur le premier riff, on a eu ce qu'on voulait, les assauts du Clown, les promenades étranges des autres membres, le regard Jasonien de Mick... on en attendait peut-être trop, c'était malgré tout un excellent moment.



Sabaton

Cette première salve de concerts s'achève, on reste un peu pour observer le début de Sabaton, sans trop y croire, si les divagations médiévales de l'univers d'Amon Amarth peuvent encore être appréciée, celles de Sabaton laissent perplexe, question de goût rien de plus. On ne sera donc pas ému par le superbe tank servant d'écrin à la batterie, ni par leurs gilets par balle et autres treillis militaires.

Arnaud Rebotini

Alors on pense à se reposer, direction le camping avec la ferme intention de se préparer pour l'inauguration du tant attendu Hellfest. Quelle naïveté, car les organisateurs ont prévu cette année deux nouveautés : deux grosses boites de nuit intelligemment appelées "Party Tent" et "Fury Tent" disposées au Metal Corner sur le chemin du retour. Dans la première, des mix dignes de nos soirées entre 3 et 4 heures du matin, avec un son plus que moyen (fort mais mauvais). Dans la seconde, Arnaud Rebotini en plein Dj-set de l'extrême, et des titres d'une violence inouïe, quel plaisir ! Il faut encore éviter les pièges de la célèbre baston de chariot et du Macumba (boite de nuit improvisée dans le camping du festival) afin de s'assurer d'être en bonne condition pour la suite.



JOUR 2 : HELLFEST #1

Fort de l'expérience de l'an passé et pourvu de l'ambition de ne pas s'écrouler en fin de journée, on prend son temps le matin, il va de soi qu'on loupe quelques pépites, mais la gourmandise a ses conséquences.

Aorlhac

Première surprise avec Aorlhac (nom de la ville d'Aurillac en occitan), du bon black métal épique en français, auvergnat qui plus est ! On se donne rendez-vous pour les revoir dès que l'occasion se présentera.

Radio Moscow

On se tourne du côté de la Valley pour voir les américains de Radio Moscow. Une formation simple, guitare/basse/batterie, qui déclenche un blues rock psyché teinté 60's/70's très efficace, ça joue et ça groove ! Les gars ne sont pas nés de la dernière pluie, 6 albums déjà et quelques bons tubes du genre qui s'enchaînent : "Broke Down", "250 Miles", "Brain Cycles", "New Beginning"...

Uada

On change d'ambiance mais pas d'habitude, direction la Temple pour accueillir Uada (USA) et leur black métal atmosphérique. Ça sent la forêt et les 90's ! Le quatuor débarque encapuchonné, à la Mgła, sous une épaisse couche de cuir et jeans noirs, ça sent la rue aussi... Ils adoptent les postures du genre et développe un black métal digne des origines pour défendre leur dernier album sorti en 2018 : "Cult of a Diying Sun". On prend plaisir à écouter des titres parfaitement exécutés tels que "The Purging Fire" ou "Snakes and Vultures", à se délecter de leurs blasts puissants et de leur fureur tangible avant de glisser sous la scène d'à côté.


Daughters

L'Altar accueille les très espérés Daughters ! En préambule, on s'était déjà épris de leur dernier album, mais aussi et surtout du "Live In The K !" diffusé par Kerrang! et que vous retrouverez aisément sur votre plateforme de streaming favorite. On savait à quoi s'attendre et l'heure précoce à laquelle ils sont programmés ne change en rien leurs plans nihilistes. Toute la prestation du groupe repose sur l'attitude particulièrement inquiétante du chanteur, Alexis S.F. Marshall, qui apparait sur scène vêtu d'un costume trois pièces noirs, très classe, mais qu'il finira par quitter petit à petit. L'homme se frappe au sang avec son micro et le balance où il peut, s'en ressaisit, se flagelle avec sa ceinture et saute dans la fosse pour se confronter au public.



Quel que soit le message qu'il souhaite faire passer, on s'émerveille de le voir déambuler ainsi, maîtrisant totalement son énergie destructrice, signe d'un grand professionnalisme artistique. C'est déjà beaucoup, mais ce n'est pas tout car le groupe développe une musique noise avant-gardiste tout aussi maîtrisée. C'est tout simplement impressionnant et on ne peut qu'encourager nos lecteurs à aller les voir pour leur tournée française cet automne (à la Coopérative de mai le 8 octobre prochain). C'est une expérience visuelle et sonore unique ! Malgré une panne de tête d'ampli qui passe presque inaperçue (formation 2 guitares, basse, batterie, clavier), les morceaux phares du dernier opus déroulent leur atmosphère angoissante : "Satan In The Wait", "City Song", "Long Road", "No Turns", "The Reason They Hate Me", "Less Sex"...

Power Trip

On se retrouve une heure plus tard sur la même scène en compagnie des jeunes texans de Power Trip et leur trash 80's teinté de hardcore. Signé sur le magnifique label Southern Lord Records (Greg Anderson), ça ne badine pas et on assiste euphorique à la "baston" tant attendue. A revoir absolument ! Pour se mettre dans l'ambiance, il suffit de se plonger dans "Executioner's Tax (Swing of the Axe)" et "Soul Sacrifice", magnifiquement exécutés en début de set, suivi de près par "Firing Squad" et "Nightmare Logic". Ajustez vos sneakers pour le bitume ardent et foncez tête la première, un régal !

All Them Witches

Après ça, quoi de mieux qu'une bonne pinte pour se réhydrater et se reposer les nerfs (et les tympans) sur All Them Witches en Valley ? Dans le programme qu'on s'est fixé, ça ressemble à un petit havre de paix au beau milieu de l'enfer. Hélas, les cornes ont bien trop poussé et on ne parvient pas à se poser. Un son un peu confus au début qui s'améliore petit à petit, un peu plan-plan tout ça, on passe complètement à côté. Ce n'est peut-être ni l'endroit ni le moment, ça arrive et on ne manquera pas d'y retourner un autre jour.

Kvelertak

Retour en Altar pour assister au grand bal black n'roll des norvégiens de Kvelertak. Même si on peut regretter le départ de l'emblématique Erlend Hjelvik, l'homme hibou, chanteur des débuts jusqu'à l'été 2018, on retrouve cette formation aux trois guitares en compagnie d'un énergique et véritablement généreux Ivar Nikolaisen (Silver et The Good, The Bad and the Zugly). Leur musique est marquée de nombreuses influences, un savant mélange de heavy, black, trash, stoner, un ensemble hurlé en norvégien et véritablement dédié à la scène et au public. Les tubes s'enchaînent non-stop dès le début : "Bruane Brenn", "Nekroskop", "1985", et malgré la perte de la batterie en façade, le show reprend de plus belle et s'achève dans la démesure avec des titres comme "Mjød", "Månelyst" et l'éponyme "Kvelertak" qui vient clore un concert dont les promesses sont largement tenues et soutenues ! Un seul mot d'ordre si vous avez l'occasion de les voir, foncez !

Venom Inc

Ce festival ne laisse aucun répit et on doit malheureusement se contenter du début de Venom Inc. si on veut pourvoir se réserver un peu pour la suite. Les anciens ont toujours une sacrée patate, ça impressionne.

Uncle Acid and the Deadbeats

Après avoir recouvré quelques forces, on se bouge sous la Valley pour accueillir les Britanniques de Uncle Acid and the Deadbeats et leur doom psychédélique. Les voix sont parfaites, le son excellent dès les premières notes, des riffs de tueurs et une iconographie sataniste très 60's, tout droit sortie d'un covent que n'aurait pas renié le grand Aleister Crowley. C'est tantôt balancé, I'll Cut you Down, I See Through You, Death Door's, tantôt lourd, Mt. Abraxas, Pusher Man, No Return, toujours incantatoire : 13 Candles. On prend plaisir à participer à cette grande messe psyché tout en invoquant quelques démons issus du parangon Black Sabbath. Encore un groupe à retrouver en salle, encore et toujours une qualité exceptionnelle et un festival qui ne fait que commencer...



La suite n'est que déambulation et pérégrination au cœur de l'enfer, de ses forêts où l'on se perd pour mieux atterrir au zinc d'une auberge à muscadet, on longe les monuments en l'honneur de dieux vivants aujourd'hui disparus, on se promène au milieu des champs de bataille peuplés d'iroquois urbains, on traine près des scènes où se meuvent d'autres légendes, bien vivantes celle-ci (Hellhammer), on raille les autres qui ont quittés le site le matin même (annulation de Manowar), on loupe un peu les fabuleux Carcass et leur puissant Buried Dreams, une véritable marée humaine nous séparant de la scène. Pourtant, cette errance moins pénible que fascinante nous porte finalement vers un achèvement, car un mastodonte français se prépare sur la MainStage 2.


Gojira

On ne va pas pinailler longtemps, car le concert de Gojira est certainement la plus grosse claque du festival. Scéniquement, c'est simple. Le quatuor se présente sans artifice, dominé par un cyclo géant où se dévoilent parfois des paysages cosmiques habités d'astres immenses et autres corps célestes. Tout le rythme du spectacle tient entre leur main, à leur manière virtuose d'enchainer les passages et leur implication plus que convaincante pour les exécuter. Rien à dire, on observe et on accepte toute l'énergie qui émane de la scène.



On s'en repaît dès le début avec "Oroborus", "Backbone" et le superbe "Stranded". Suivent des moments plus progressifs : "Flying Whales", "The Shooting Star", ou franchement lourds et sans détours : "Love", "The Cell", le plus souvent les trois à la fois : "Silvera", "L'enfant sauvage". Le show apparait comme très équilibré, une setlist magnifique, idéale peut-être, on se demande vraiment s'il est possible de faire mieux. Le fait est qu'ils n'hésitent pas à puiser le meilleur de leur discographie : les 6 albums y passent sans exception, à l'image de leur final qui va chercher dans leurs origines la puissance destructrice d'un "Blow Me Away - Niverse", ou encore celle d'un "Clone". Ils enfoncent un peu plus le clou avec "Vacuity" et s'en vont inévitablement sur "The Gift" of "Guilt". Gojira fait l'unanimité, sans aucun doute...

King Diamond

Avant de trouver le repos, on fait un tour du côté du sinistre King Diamond, une compagnie parfaite pour s'en retourner dans les tréfonds de son cercueil tristement signé Décathlon. Très heureuse surprise car il ne lésine pas sur les moyens : se dresse devant nos yeux ébahis, sur la petite scène de la Temple, un décor sur deux étages habités de goules et autres sorcières qui mettent au monde divers démons dans une mise en scène digne des " grands guignols " victoriens. " Hail to the king! "



JOUR 3 : HELLFEST #2

Mantar

Le premier stop (très tardif) de la journée se déroule sous la Valley qui accueille Mantar et son sludge ravageur. Le duo allemand (guitare/chant + batterie) délivre une excellente performance marquée par une sensibilité dévastatrice. La voix est puissante, le son énorme, ça tanne ! Ils déroulent sans flancher des titres emprunts d'influences diverses (punk, hardcore, black...) à l'image de Age of the Absurd ou encore Era Borealis. Il paraît que le chanteur n'est pas dans sa meilleure forme, la chaleur peut-être ? Quoiqu'il en soit, on est séduit.

Sumac

Sous la même scène, deux petites heures plus tard, on découvre le sludge cavernicole des américains de Sumac. Parmi eux, des membres de Russian Circle (Brian Cook) ou encore Old Man Gloom et Isis (Aaron Turner), tout un programme. Très gros son de basse, chanteur expressif et fascinant, hirsute aux allures d'ermite, et un batteur ahurissant doté d'un sacré groove, peut-être d'un des meilleurs. Le groupe mêle des passages lourds et des improvisations free noise étonnantes, comme une clé de voûte à un ensemble beaucoup plus complexe. Leur démonstration reste comme l'une des plus marquantes de cette édition 2019.

Carach Angren

Retour sous la Temple pour voir Carach Angren, "les mâchoires d'acier" bataves et leur black metal symphonique bardé de mises en scène très théâtrales. Le son est bon, les personnages incarnés sont saisissants et on prend plaisir à voir dégouliner cette comédie lugubre : mannequin féminin égorgé, hémoglobine et sexe oral macabre. Ça tient le coup musicalement, c'est calé, mais le propos va bien au-delà. Trop ? Peut-être selon les goûts. Est-il vraiment nécessaire que le guitariste et le clavier soient si souvent portés en hauteur sur des pilonnes érectiles ?


Eagles of Death Metal

Plus tard et dans le désordre : les Eagles of Death Metal ne sont pas convaincants, ça sonne creux et presque hors-sujet ; il faut être fan de la première heure pour apprécier le concert de Cave In, malgré des passages bourrins très appréciés ; Moonspell ne retient pas l'attention, du moins pas autant que par le passé.

The Ocean / Envy

Finalement, c'est avec The Ocean que l'on reprend un peu espoir, mais surtout avec les japonais d'Envy. De mémoire c'était tout simplement incroyable et on se demande encore comment la scène a pu soutenir ce terrible choc sonique. On se donne rendez-vous le 15 décembre prochain à la Maroquinerie pour le jugement dernier.

Cradle of Filth

Encore plus tard, on tente une énième fois de se réconcilier avec Cradle of Filth, c'est très scénarisé, bien calé et répété, mais on finit toujours par fuir tant il est impossible de supporter le comportement vocal très binaire de Dani (ça fait " Hiiiiiiiii " et " Gnagnagnagna-tatatata ", et puis c'est tout). Pourtant, les voix de sorcières squelettiques en provenance de Diablo III ne déplaisent pas, bien au contraire ! Dans le genre, mieux vaut se pencher sur Carach Angren.


Kiss

On fait un détour pour saluer une dernière fois (?) Kiss, sans trop s'attarder tout de même, et après avoir assisté au final très convaincant de Bloodbath, on se rend à nouveau sous la Valley pour recevoir les très attendus Cult of Luna.

Cult of Luna

Une chance évidente vu la rareté des shows depuis 2013. Deux batteries sur scène et une entame écrasante avec le tout nouveau The Silent Man sorti en 2019 ! Le rite sélénite peut commencer. La magie opère et les adorateurs transis se délectent de l'atmosphère qui se met en place petit à petit. C'est qu'il faut insister pour entrer, ce n'est pas si évident, mais les riffs oppressants de Owlwood et Finland vont le permettre sans difficulté. On se perd un peu sur Ghost Trails et un nouveau titre joué pour la première fois sur scène (?), avant de se rattraper sur un final de toute beauté avec In Awe Of. C'était appréciable, mais on se dit que la formule "festival" ne convient peut-être pas...

The Sisters of Mercy

C'est donc sur un constat mitigé que ce clos cette deuxième journée. C'était déjà l'impression qu'on pouvait avoir sur papier et la piètre qualité de la prestation de The Sisters of Mercy vient tristement confirmer cela. Ce qui apparaissait comme un final alléchant se transforme en véritable déception, un calvaire signé Andrew Eldritch et sa maudite boîte à rythme... Alors on se rattrape avec satisfaction en découvrant Architect, tout en pensant au lendemain qui s'annonce déjà comme un monument !



JOUR 4 : HELLFEST #3

Municipal Waste

Le jour du saigneur, un qualificatif qui sied à merveille pour ce dimanche 23 juin à Clisson. Et quoi de mieux pour commencer cette journée très attendue ? Le bon vieux trash hardcore de Municipal Waste bien-sûr ! Ils viennent tout juste de sortir de l'avion et débarquent sur la MainStage 2, encore bourrés de la veille, mais surtout après avoir enchainé Graspop et Copenhell... Abnégation, don de soi, oubli de soi-même ? Leur fureur et leur univers toxique digne des productions Troma ne tardent pas à se mettre en place. Les circle pit et autres wall of death s'enchainent avec une aisance renversante sous le soleil de midi... Pas besoin de rappeler que tous les poncifs du crossover trash sont en place : chant braillé, voix écorché, riffs cinglants, zéro répits... Et folie festive ? Bien entendu, et ce dès le deuxième titre, Beer Pressure, juste pour rappeler qu'il n'est jamais trop tôt pour se désaltérer en enfer : "We're getting drunk and we're doing it fast". Une performance tout en finesse qui se poursuit avec des hymnes comme Sadistic Magician ou encore Unleash the Bastards. Le public suit allégrement : " Municipal Waste is gonna to fuck you up! ", ça, c'est fait !

Death Angel / Lucifer's Child

Après un léger détour, histoire de goûter et d'apprécier l'imposant répertoire des Californiens de Death Angel, on se retrouve sous la Temple pour assister au live de Lucifer's Child, groupe de black metal progressif grec emmené par l'ex-guitariste de Rotting Christ (George Emmanuel). Venu défendre leur dernier album, The Order parut en 2018, on regrette un peu qu'ils aient été programmés à un moment si précoce, plutôt réservé à la digestion, en plein milieu d'après-midi... à l'heure de la sieste quoi. Eh oui, c'est un regret car leur engouement est tangible, ils n'ont qu'une envie, faire bouger un public un peu amorphe avec des titres très balancés comme l'éponyme The Order, dont les riffs assassins reste gravés dans les tympans, ou encore les rythmes très stimulants d'un Fall of the Rebel Angels. C'est dommage, d'autant que le groupe insiste pour que ça décolle un peu, et malgré les quelques efforts du public qui clairement fait de son mieux, la distance se creuse au fur et à mesure du set... On aimerait les revoir dans un cadre temporel différent, à une heure plus propice à révéler toute l'intensité de leur rite occulte.

Årabrot

Retour sous une Valley quelque peu délaissée par son public parti en masse pour recevoir Clutch en MainStage, où l'on se permet de bouder les uns pour découvrir les inattendus Årabrot (en remplacement d'Emma Ruth Rundle) et leur étrange frontman dont la tenue et le chapeau à large bord évoque plus l'univers des amish que l'inquiétante énergie développée par leur noise-rock irrésistible. C'est sans détour l'une des très bonnes découvertes de cette édition. Ils prouvent une grande maîtrise de leur (énorme) son et alignent des titres fascinants qui doivent pousser à découvrir une imposante discographie : quelque chose comme 9 albums et 6 EP depuis 2003, avec entre autres des producteurs comme Billy Anderson ou encore Steve Albini. C'est tout simplement beau et complexe, une densité de matière innovante qui mérite un peu de temps pour apprécier toute sa valeur. Un titre pour commencer ? Scagcat, 2005.

Wiegedood

On vogue en direction de la Temple pour se rafraîchir les idées au contact du souffle glacé qui émane de l'univers funeste des Flamands de Wiegedood. Toutes les bases du True Black Metal sont là et leur jeu alterne avec brio passages violents et atmosphériques. Notez qu'ils se passent aisément de basse et de chichis burlesques. On est juste face à un message venu d'outre-tombe, à la fois mélancolique et tragique, celui de la mort, dont la fatalité impose sa marque froide sur la trilogie formée par les trois derniers opus du groupe : De Doden Hebben Het Goed I, II & III ("les morts se portent bien"). Le trio ne s'embarrasse pas de formalités et déroule sans transitions 5 morceaux issus des albums suscités. En premier lieu avec les deux premiers morceaux du second volume qu'ils s'enchainent comme sur l'album : Ontzieling (" désolation ") et Cataract. En second lieu, le titre éponyme parut sur le troisième volet : De Doden Hebben Het Goed III. Un spécimen de toute beauté qui rappelle les heures les plus sombres du genre. S'il vous prend l'envie de découvrir Wiegedood, c'est par cette crypte qu'il faut entrer. Et pour parfaire ce set dont l'homogénéité n'a d'égal que la pureté de la trilogie, on poursuit avec la sauvagerie démente d'un Prowl et celle d'Onder Graan, seul morceau joué du premier album. Les adieux sont brefs, car les sujets évoqués sont lourds de sens...



Philip H. Anselmo & The Illegals

Ce quatrième jour de festival est marqué par la fatigue notable du public, on ne compte plus les corps avachis, mais Philip H. Anselmo & The Illegals vont réussir à renverser la vapeur, et c'est peu de le dire ! Ils débarquent sous la Valley devant un parterre conquis d'avance, avide des sonorités légendaires que la formation pourrait leur promettre. Une attente rapidement comblée car, après s'être introduit par une ballade (The Better, qui semble être dédié à Bruce Corbitt décédé en début d'année) et deux titres très Death dont le combo à le secret, Phil Anselmo entame un hommage à Pantera qui va absorber sans précaution les dernières forces vitales des festivaliers présents. Sous une Valley bondée résonne alors les premiers riffs de Mouth for War et la fosse exulte. Tout le reste n'est que générosité de part et d'autres, échanges touchants et exaltés entre oncle Phil et son public, chants scandés par la foule dont les voix vibrent entre chaque silence laissé vacant pour le plaisir de tous. Ils y sont (presque) tous, Becoming, Fuckin Hostile, I'm Broken, Hellbound ou encore Walk ! Un véritable régal qui restera sans aucun doute dans les annales de cette 14ème édition... et ça, on peut tout simplement l'observer dans les yeux luisants, les sourires furieux et la sueur des festivaliers qui quitte la Valley à la fin de ce petit plaisir quatre étoiles. Cette journée est une merveille, mais elle ne fait que commencer et il faut trouver encore quelques ressources pour survivre au superbe enchainement qui va succéder à l'entame de l'oncle Phil.

Emperor

Les très attendus Emperor font leur apparition sous une Temple bien remplie pour défendre une tournée dédiée à leur second album : Anthems to the Welkin at Dusk (1997). Les morceaux s'enchainent tels que sur le disque et malgré un début un peu laborieux, le groupe trouve son équilibre à partir du troisième titre : The Loss and Curse of Reverence. Dès cet instant, le doute laisse place à une aisance impressionnante qui réveille et entraîne une foule de moins en moins amorphe, notamment sur The Acclamation of Bonds. Le concert se conclut, en guise de rappel, par une véritable apocalypse sonique avec trois titres phares de In the Nightside Eclipse (1994) dont les glorieux I Am the Black Wizards et Inno a Satana. Il ne fait aucun doute que leur show répond très honorablement aux attentes suscités par l'annonce de leur venue au Hellfest 2019.

Cannibal Corpse

Et ça continue, on vaque spontanément sous la Altar où se produit l'un des deux ovnis de la soirée. Le Cannibal Corpse est là et il impressionne. Un set très varié, composé de titres anciens ou plus récents, tirés de nombreux albums, qui contiennent autant de passages massifs ou véloce qu'il y a de férocité meurtrière dans la voix de George "Corpsegrinder". Pour n'y avoir jamais goûté avant, on confirme que c'est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie ! On se donne rendez-vous pour (peut-être) le retour du guitariste Patrick O'Brien...

Slash feat. Miles Kennedy

Petit détour par Slash feat. Miles Kennedy en MainStage 1 pour saluer la silhouette légendaire du guitariste des Guns n'Roses, rien à dire sur son jeu, ni sur la voix de Miles Kennedy, si ce n'est que le meilleur moment du concert restera la reprise de "Nightrain", on croise les doigts pour l'année prochaine.

Slayer

Vient enfin le tour de Slayer de prendre possession de la MainStage 2. Ils ont choisi le Hellfest pour faire leurs adieux au public français et ont sorti l'argenterie pour ce dernier repas. Outre une scène, certes minimaliste pour un groupe de cette envergure, qui fait la part belle à d'impressionnants effets pyrotechniques (croix et murs de feu) et à des jeux de lumières aux accents vénéneux, c'est grâce à une setlist longue comme le bras et pleine de joyaux du Metal qu'ils font honeur leur carrière : de Repentless à Angel of Death en passant naturellement par Seasons in the Abyss, South of Heaven, Black Magic et bien d'autres. Oublié Raining Blood ? Absolument pas, mais on la discerne pour mieux mettre en exergue la pluie fine qui s'abat au même moment sur le public, comme un pied de nez maléfique à leur immense carrière. Le combo californien déroule ses plus grands succès avec hargne et l'engagement indéfectible qui le caractérise, un pur plaisir partagé avec entrain. On peut se perdre en qualificatifs, tout ce qu'il faut retenir c'est que les têtes ont eu du mal à ne pas banger pendant 1h30 et qu'il est essentiel de vivre une dernière fois ce moment, jusqu'aux adieux touchants de Tom Araya.

Deicide / Tormentor

L'événement touche à sa fin, on se laisse hypnotiser par l'impressionnante prestation de Deicide, l'autre ovni de la soirée, et on clôt les portes de l'enfer en compagnie de Tormentor, le premier groupe d'Attila Csihar (chanteur pour Mayhem, Sunn O))), Keep of Kalessin...) dont les étranges borborygmes constituent le dernier souvenir rapporté de cette très réussie 14ème édition du Hellfest. A l'année prochaine !

Photos : Titouan Massé www.instagram.com/tmphotograph, www.facebook.com/titouanmassephoto, twitter.com/titouanbzh, titouanmasse.tumblr.com, www.flickr.com/photos/titouanbzh...

 Critique écrite le 17 juillet 2019 par Eric Freydefont


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Amon Amarth : les dernières chroniques concerts

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Hellfest et Knotfest 2019 : Kiss, Slayer, Slipknot, Tool, Rob Zombie, Dropkick Murphys, Slash, Gojira, Sick Of It All, Sabaton, Dagoba, Kvelertak, Sisters of Mercy, Mass Hysteria... par Pipoulem
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Mercredi 7 octobre 2019, le Rex a tremblé ! Noiser a encore organisé une de ces dates dont on aime se rappeler encore et encore. Jerome's Dream Cette fois-ci, c'est... La suite

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Hellfest et Knotfest 2019 : Kiss, Slayer, Slipknot, Tool, Rob Zombie, Dropkick Murphys, Slash, Gojira, Sick Of It All, Sabaton, Dagoba, Kvelertak, Sisters of Mercy, Mass Hysteria... en concert

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Paléo Festival de Nyon 2022 : -M-, Kiss, Dropkick Murphys, La Femme, Turnstile, Broken Bridge, Arka'n Asrafokor par Lionel Degiovanni
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Pour démarrer ce compte-rendu sur le Paléo Festival de Nyon 2022, il faut parler des quelques nouveautés... Il y a deux nouvelles scènes pour cette édition : la scène Vega, qui... La suite

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Hellfest et Knotfest 2019 : Kiss, Slayer, Slipknot, Tool, Rob Zombie, Dropkick Murphys, Slash, Gojira, Sick Of It All, Sabaton, Dagoba, Kvelertak, Sisters of Mercy, Mass Hysteria... par Pipoulem
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Hellfest 2019 : Eagles Of Death Metal, Les Wampas, The Living End, Sham 69, Deadland Ritual, David Coverdale, ZZ Top, Kiss... par Samuel C
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Le Hellfest, une expérience hors norme et hors du temps... Le festival repose principalement sur l'engagement d'un homme, Ben Barbaud : visionnaire, exigeant et déterminé. Il a... La suite

Kvelertak : les dernières chroniques concerts

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Samedi 29 juin 2024, notre day 2 in Hellfest, Purple Camp, 9 A.M... Rha zut, il fait pas beau et la météo annoncée est assez démoralisante (même si l'eau, c'est la vie, bien... La suite

Hellfest et Knotfest 2019 : Kiss, Slayer, Slipknot, Tool, Rob Zombie, Dropkick Murphys, Slash, Gojira, Sick Of It All, Sabaton, Dagoba, Kvelertak, Sisters of Mercy, Mass Hysteria... en concert

Hellfest et Knotfest 2019 : Kiss, Slayer, Slipknot, Tool, Rob Zombie, Dropkick Murphys, Slash, Gojira, Sick Of It All, Sabaton, Dagoba, Kvelertak, Sisters of Mercy, Mass Hysteria... par Pipoulem
Clisson, le 23/06/2019
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Il est de ces concerts où l'on va avec la banane, où l'on sait à quoi s'attendre, où l'on sait que le show sera assuré, où l'on sera face à des légendes. Metallica est de ceux... La suite

Metallica + Kvelertak (Worldwired Tour 2017) en concert

Metallica + Kvelertak (Worldwired Tour 2017) par Bastien Castellan
AccorHotels Arena, Paris, le 10/09/2017
"HEY! HEY! HEY! HEY! HEY!" Poings ou cornes metalleuses agités en rythme, scandant une onomatopée aussi rageuse que fédératrice, le public répond aux invectives du leader de... La suite

Rob Zombie : les dernières chroniques concerts

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Hellfest 2011 - 1ère journée : Iggy and The Stooges, Rob Zombie, The Cult, Young Gods, The Exploited, In Solitude, The Dwarves, Maximum The Hormone en concert

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Un "sans fausse note" pour cette édition 2011 du festival français Hellfest. Tout comme l'édition 2010, les ingrédients qui font un bon festival étaient réunis : la bonne... La suite

Sabaton : les dernières chroniques concerts

SABATON + ACCEPT + TWILIGHT FORCE en concert

SABATON + ACCEPT + TWILIGHT FORCE par Abigail Darktrisha
Bikini, Ramonville, le 18/01/2017
Alors que le plateau germanico-suédois fait débat sur la présence du légendaire groupe de heavy Accept en ouverture du plus récent Sabaton, c'est par le froid polaire qui touche... La suite

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Arrivée en France du Download Festival, le gros machin metal de Live Nation, donc ? Personne n'est dupe, ce n'est pas de la philanthropie, l'idée est évidemment d'aller empiéter... La suite

Sabaton + Alestorm + Bloodbound en concert

Sabaton + Alestorm + Bloodbound par Abigail Darktrisha
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De retour au Rocher de Palmer dans ce mois à l'actualité très chargée niveau concerts métal pour la région Bordelaise (Machine Head, Ghost, Sabaton, Symphony X... ), une file... La suite

Sabaton + Bloodbound + Alestorm  en concert

Sabaton + Bloodbound + Alestorm par Meli
L'Espace Julien- Marseille, le 22/02/2016
Le lundi est la journée la plus " merdique " : le week-end vient de se terminer et une longue semaine de labeur nous attend. Bref, c'est la déprime !!! Quoi de mieux qu'un bon... La suite

Slash : les dernières chroniques concerts

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Le Zénith, Paris, le 29/04/2024
Quelques mois après son passage avec son projet principal (un petit groupe appelé Guns N' Roses), Slash, infatigable stakhanoviste du hard, termine dans un Zénith en ébullition sa... La suite

Slash feat. Myles Kennedy and the Conspirators - Interpol - NTM (Eurockéennes de Belfort 2019) en concert

Slash feat. Myles Kennedy and the Conspirators - Interpol - NTM (Eurockéennes de Belfort 2019) par Lebonair
Presqu'ïle du Malsaucy - Belfort, le 04/07/2019
La 31ème édition des Eurockéennes de Belfort s'est achevée dans la nuit du dimanche au lundi à 1 heure 30 du matin. Après 4 jours de musique qui ont reflété notre époque au... La suite

Slash featuring Myles Kennedy and the Conspirators + Rival Sons en concert

Slash featuring Myles Kennedy and the Conspirators + Rival Sons par exxo7
Les Arènes de Nîmes, le 03/07/2019
C'est toujours un bonheur immense que de se retrouver dans les arènes de Nîmes... Ce lieu aura toujours quelque chose qui me fascine. Ce soir c'est pour voir et écouter Slash... La suite

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HELLFEST 2017 - JOUR 3 : SLAYER, CORONER, EMPEROR, METAL CHURCH, BLUE OYSTER CULT, PENTAGRAM, BLACK STAR RIDERS, HIRAX en concert

HELLFEST 2017 - JOUR 3 : SLAYER, CORONER, EMPEROR, METAL CHURCH, BLUE OYSTER CULT, PENTAGRAM, BLACK STAR RIDERS, HIRAX par Holy Vier
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HELLFEST JOUR 3 Troisième et dernier jour, et canicule attendue avec 33 degrés dans l'après-midi. Heureusement, quasiment rien à voir pour nous sur les mainstages... La suite

Hellfest 2016 3ème jour (Tarja, Gojira, Bling Guardian, Slayer, Amon Amarth, Megadeth, Ghost, Black Sabbath, King Diamond) en concert

Hellfest 2016 3ème jour (Tarja, Gojira, Bling Guardian, Slayer, Amon Amarth, Megadeth, Ghost, Black Sabbath, King Diamond) par Abigail Darktrisha
Clisson, le 19/06/2016
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Sur la scène Thrash, en concert, il y a Slayer et puis il y les autres... Ils l'ont encore démontré fin octobre dans un Zénith parisien très très bien garni. Et moi j'ai encore... La suite

Slipknot : les dernières chroniques concerts

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Beyond the Styx, Wolvennest, Shcizophrenia, The Old dead tree, Evil Invaders, Treponem Pal, Dozer, Electric Callboy, Amon Amarth, Tenacious D, Pantera, Slipknot par Pipoulem
Hellfest Clisson, le 18/06/2023
Hellfest 2023 18 juin 2023 - Beyond the Styx, Wolvennest, Shcizophrenia, The Old dead tree, Evil Invaders, Treponem Pal, Dozer, Electric Callboy, Amon Amarth, Tenacious D, Pantera,... La suite

Hellfest et Knotfest 2019 : Kiss, Slayer, Slipknot, Tool, Rob Zombie, Dropkick Murphys, Slash, Gojira, Sick Of It All, Sabaton, Dagoba, Kvelertak, Sisters of Mercy, Mass Hysteria... en concert

Hellfest et Knotfest 2019 : Kiss, Slayer, Slipknot, Tool, Rob Zombie, Dropkick Murphys, Slash, Gojira, Sick Of It All, Sabaton, Dagoba, Kvelertak, Sisters of Mercy, Mass Hysteria... par Pipoulem
Clisson, le 23/06/2019
Retour sur le plus gros festival metal de France, le Hellfest. Habituellement le festival se déroule sur trois jours vendredi/samedi/dimanche. Mais cette année nous avons... La suite

Sonisphere Festival 2011 : Slipknot, Airbourne, Gojira, Mastodon, Dream Theater, Bukowski, Symfonia, Bring Me The Horizon,  en concert

Sonisphere Festival 2011 : Slipknot, Airbourne, Gojira, Mastodon, Dream Theater, Bukowski, Symfonia, Bring Me The Horizon, par Abigail Darktrisha
Snowhall Parc, Amnéville, le 08/07/2011
Après le Hellfest il y a trois semaines, me voici de nouveau sur la route pour un autre festival Français : le fameux festival itinérant Sonisphere dont les affiches varient... La suite

(mes) Eurockéennes 2009 3/3 : Glasvegas, Gojira, Sliimy, Phoenix, Zone Libre vs Casey, Tinariwen, Charlie Winston, Slipknot en concert

(mes) Eurockéennes 2009 3/3 : Glasvegas, Gojira, Sliimy, Phoenix, Zone Libre vs Casey, Tinariwen, Charlie Winston, Slipknot par Philippe
Presqu'Ile du Malsaucy, Evette Salbert, le 05/07/2009
Pour le samedi c'est par ici ! Troisième et dernière journée sans grosse pression - l'essentiel de ce qu'on voulait voir cette année est déjà passé. Cela étant, l'an dernier... La suite

The Sisters Of Mercy : les dernières chroniques concerts

Hellfest et Knotfest 2019 : Kiss, Slayer, Slipknot, Tool, Rob Zombie, Dropkick Murphys, Slash, Gojira, Sick Of It All, Sabaton, Dagoba, Kvelertak, Sisters of Mercy, Mass Hysteria... en concert

Hellfest et Knotfest 2019 : Kiss, Slayer, Slipknot, Tool, Rob Zombie, Dropkick Murphys, Slash, Gojira, Sick Of It All, Sabaton, Dagoba, Kvelertak, Sisters of Mercy, Mass Hysteria... par Pipoulem
Clisson, le 23/06/2019
Retour sur le plus gros festival metal de France, le Hellfest. Habituellement le festival se déroule sur trois jours vendredi/samedi/dimanche. Mais cette année nous avons... La suite

Sisters of Mercy par Gandalf
Zénith à Paris, le 14/04/2006
Les Sisters of Mercy. Groupe cultissime aux origines du mouvement Goth. Un phénomène du passé. Qui passait pour la première fois en france depuis leurs débuts, il y a 25 ans. Vu ce que j'ai pu en ecouter et danser dessus dans les boites rock/Metal beaucoup plus jeune, je ne pouvais que faire le déplacement dans la capitale pour voir à quoi ca... La suite

Uncle Acid And The Deadbeats : les dernières chroniques concerts

(mes) Eurockéennes 2014, 2/2 : Uncle Acid & the DeadBeats, DakhaBrakha, Biffy Clyro, Volbeat, Goat, A Tribe Called Red, Robert Plant & the Sensational Space Shifters, Ghost, The Black Keys en concert

(mes) Eurockéennes 2014, 2/2 : Uncle Acid & the DeadBeats, DakhaBrakha, Biffy Clyro, Volbeat, Goat, A Tribe Called Red, Robert Plant & the Sensational Space Shifters, Ghost, The Black Keys par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 06/07/2014
Le samedi, c'est par là ! Mauvaise nouvelle pour commencer : on a pas assez trainé au barbecue du dimanche pour rater comme prévu les abominables chevelus d'Uncle acid & The... La suite

Black Sabbath + Uncle Acid and the Deadbeats en concert

Black Sabbath + Uncle Acid and the Deadbeats par Philippe
02/12/2013
Face à un constat implacable - même les plus grandes légendes musicales vieillissent et parfois meurent, on a décidé depuis bien longtemps de ne plus laisser passer un... La suite

Clisson : les dernières chroniques concerts

(mon) Hellfest 2024, 3-3 : Sang Froid, Destinity, Pensées Nocturnes, Dool, Scowl, Rendez-Vous, Therapy ?, Frank Carter & the Rattlesnakes, Sierra, Queens of the Stone Age, Offspring, Madball, Rival Sons, Cock Sparrer (+ Conférence de presse QOTSA, Show me the body, Corey Taylor) en concert

(mon) Hellfest 2024, 3-3 : Sang Froid, Destinity, Pensées Nocturnes, Dool, Scowl, Rendez-Vous, Therapy ?, Frank Carter & the Rattlesnakes, Sierra, Queens of the Stone Age, Offspring, Madball, Rival Sons, Cock Sparrer (+ Conférence de presse QOTSA, Show me the body, Corey Taylor) par Philippe
Site du Hellfest, Clisson, le 30/06/2024
Hey ! Mais comme le temps est passé vite, c'est déjà le toujours-difficile-3ième-jour-au-Hellfest ? Sauf qu'il va être plus facile que d'habitude. Déjà parce qu'on a étonnamment... La suite

(mon) Hellfest 2024, 2-3 : Fallen Lillies, Konvent, Dead Krazukies, Kronos, Hrafngrimr, 8°6 Crew, Kvelertak, Didier Wampas Psycho Attacks, Metallica, Suicidal Tendencies (+ Anvil, Skyclad, Nekromantix, Bruce Dickinson) en concert

(mon) Hellfest 2024, 2-3 : Fallen Lillies, Konvent, Dead Krazukies, Kronos, Hrafngrimr, 8°6 Crew, Kvelertak, Didier Wampas Psycho Attacks, Metallica, Suicidal Tendencies (+ Anvil, Skyclad, Nekromantix, Bruce Dickinson) par Philippe
Site du Hellfest, Clisson, le 29/06/2024
Samedi 29 juin 2024, notre day 2 in Hellfest, Purple Camp, 9 A.M... Rha zut, il fait pas beau et la météo annoncée est assez démoralisante (même si l'eau, c'est la vie, bien... La suite

(mon) Hellfest 2024, 1-3 : Kanonenfieber, Steel Panther, Tom Morello, Clawfinger, Amorphis, Machine Head, Fu Manchu, Anaal Nathrak (+ Gaupa, Acid King, Shaka Ponk, Prodigy) en concert

(mon) Hellfest 2024, 1-3 : Kanonenfieber, Steel Panther, Tom Morello, Clawfinger, Amorphis, Machine Head, Fu Manchu, Anaal Nathrak (+ Gaupa, Acid King, Shaka Ponk, Prodigy) par Philippe
Site du Hellfest, Clisson, le 28/06/2024
Pour tester notre sang-froid, la SNCF a coupé net et en plein milieu notre périple vers ce Hellfest 2024, avec une bonne blague : gare de Marnes-la-Vallée évacuée, puis train pour... La suite

Beyond the Styx, Wolvennest, Shcizophrenia, The Old dead tree, Evil Invaders, Treponem Pal, Dozer, Electric Callboy, Amon Amarth, Tenacious D, Pantera, Slipknot en concert

Beyond the Styx, Wolvennest, Shcizophrenia, The Old dead tree, Evil Invaders, Treponem Pal, Dozer, Electric Callboy, Amon Amarth, Tenacious D, Pantera, Slipknot par Pipoulem
Hellfest Clisson, le 18/06/2023
Hellfest 2023 18 juin 2023 - Beyond the Styx, Wolvennest, Shcizophrenia, The Old dead tree, Evil Invaders, Treponem Pal, Dozer, Electric Callboy, Amon Amarth, Tenacious D, Pantera,... La suite